En 2020, que les bons films fassent de bons nervins.

Les pleins pouvoirs de et avec Clint Eastwood.

Un voleur surprend le président américain en bonne compagnie dans la maison d'un ami, et assiste à son comportement violent avec une femme, qui finit tuée par les services de sécurité.
Détenant des preuves du crime, il va devenir la proie des services secrets.
C'est pas trop mal, puisqu'on ne voit pas le temps passer. Quelques bonnes séquences, comme l'art de filmer Eastwood derrière le miroir sans teint, ou la danse du président avec sa conseillère.
Une bonne BOF.
Mais nous restons très loin des meilleurs Eastwood (Mystic river), sans tomber dans les pires (Firefox). Le film a été très surestimé par la presse française, AMHA.

Les frères Sisters (2018) un film qui renoue avec le western de qualité , belles images et histoire plutôt sympa .

Bientôt sur vos écrans la suite de StarWars. La production baisse les budgets alloués. La preuve: G6PO a été remodélisé à moindres frais. Mais le charme opère toujours.

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StarWars 2011, un nouvel héros robot. Son nom Dyson.

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Elmer Gantry le charlatan de Richard Brooks.
Burt Lancaster est génial en VRP, authentique tartuffe dans l'Amérique de la prohibition, en proie à une vague d'hystérie revivaliste.
Malheureusement, le film est plombé par sa longueur : 2h20, alors qu'avec une bonne demi-heure de moins, ce film aurait été un chef-d'oeuvre grinçant.

Je jetterai toutefois un coup d'oeil au livre de Sinclair Lewis.

J'ai revu hier soir Le président. Ecouter de tels dialogues à notre époque, c'est comme tomber sur une traction avant dans un parking rempli de Citroën AMI. Il est cruel de constater en 2020, soixante ans plus tard, que la république De Gaulle ne nous a jamais préservé des "pas-plus-mauvais-qu'un-autre" baignant dans les ambitions personnelles et les conflits d'intérêts.

Into the Badlands - vient de finir la dernière et 3ème saison. Tout ce qui a été dit est vrai je suppose. Série Post-Apo fantaisie pourrait-on dire, mêlant kung-fu, société médiévalo-samouraï avec une goutte de steampunk et autre, bref, un univers original, vraiment inattendu, sans aucun doute, mais le tout ficelé assez lourdinguement, tant scénaristiquement que formellement - bien que malgré ces lourdeurs il y ait beaucoup d'efforts formellement, il faut le dire. Il y a aussi des scènes de combats style arts martiaux de papa (à chaque épisode je crois), savamment chorégraphiées.
Au final, cette série m'a offert quelques heures de détente : je ne vous la recommande pas ^^.

J’entame le visionnage de The outsider, la mini-série tirée du récent roman de Stephen King.

Ça commence plutôt bien, dans la plus pure tradition kingienne : en prenant son temps pour présenter les personnages avant que les choses ne deviennent de plus en plus étranges.

		Jim : J’entame le visionnage de The outsider, la mini-série tirée du récent roman de Stephen King. Ça commence plutôt bien, dans la plus pure tradition kingienne : en prenant son temps pour présenter les personnages avant que les choses ne deviennent de plus en plus étranges.

Je me demandais si un jour je reviendrai à la lecture de Stephen King. Il y a quelques jours je me suis dis peut-être avec ce titre là, The Outsider. Même question pour Amélie Nothomb, y reviendrai-je ? Ce sont deux auteurs qui donnent l'impression que l'écriture peut s'approcher de la mécanique comme discipline, et leurs ressorts fonctionnent bien, y-a pas à dire.

Terreur à l’hôpital central, excellent petit thriller horrifique porté par un Michael Ironside au mieux de sa forme, avec une trombine qui n’est pas sans rappeler Nicholson.
Dommage que cet acteur n’ait pas eu la carrière qu’il méritait.