Que lisez vous cette semaine ?

		Citation : Je commence Kafka sur le rivage, le nouveau MURAKAMI (et le premier pour moi). Je crois que c'est Jim qui était intéressé par un avis, j'essayerai d'en reparler bientôt.

Oui oui... Merci d'avance.

Maintenant, Crépuscule d'acier de Charles Stross dont le prologue est tout simplement fabuleux. Même si j'aime bien ce titre, je me demande comment Singularity Sky a pu donner un tel titre à la traduction :)

		Citation : Maintenant, Crépuscule d'acier de Charles Stross dont le prologue est tout simplement fabuleux. Même si j'aime bien ce titre, je me demande comment Singularity Sky a pu donner un tel titre à la traduction :)

je m'étais posée la même question et je pense que c'est pour faire le lien avec le titre du suivant qui est Iron sunrise (Aube de fer).

La suite ?

		Citation : La suite ?

où l'on retrouve les mêmes personnages et le même univers.

Je suis dans Cela se produira bientôt, et c'est vraiment de l'Andrevon d'excellente qualité.

Plongée avec délices dans Mécomptes de fées, de Pratchett ! J'envisage de rebaptiser ma chatte grise...

Argyll de Sturgeon, peut-être l'un de ses plus grands textes.
Il s'agit d'une ébauche d'autobiographie où il parle de son terrible beau-père, et met le lecteur à la place de l'enfant qu'il fut pour lui en faire ressentir la cruauté et les douleurs des vexations et humiliations que son beau-père lui fit endurer. Une oeuvre incontournable pour comprendre Sturgeon.

Ce texte est le seul inédit publié dans son Omnibus Romans et nouvelles :

L'éveil d'endymion: pas terrible mais y'a pire...
2001: vais bientot le commencer
le monde de rocannon: idem

		Citation : L'éveil d'endymion: pas terrible mais y'a pire...

pas terrible ?!?!
j'suis absolument pas d'accord avec toi sur ce point, L'éveil d'Endymion est un excellent space opéra.

mais y'a pire ? certainement, par exemple, il y a quelques années, j'avais entamé la série de Dune en me frottant les mains à la vu du nombre de volumes. Ben, j'ai arrêté au cinquième ou au sixième, quand sont évoquées plus en détail qu'avant les Ben Gesserit, ces mères je ne sais quoi, manipulatrices machiaveliques et dépravées (quelle image de la femme dans cette oeuvre!), j'ai pas pu en supporter plus. Et quand je pense que le fils a repris le flambeau, j'en frémis ... d'horreur. Laissons les Atréides reposer en paix, leurs cendres mêlées aux sables d'Arrakis.