Madame Bovary

Je fais moi aussi ma petite demande de chronique sur MB

Monsieur Flaubert effectivement, de sa plume aiguisée, semble avoir tracé sur le velin blanc l'histoire de ma vie. Puis, acharné à se faire éditer, il fit imprimer cet énorme pavé qui, depuis ce Second Empire qui fut mien jusqu'à ce XXIème siècle que je découvre, inspire les professeurs de français pour pousser les lycéens à la lecture des belles lettres.

Comme je vous plains Monsieur Blade de vous pencher sur ma vie insipide ! Je comprend vos baillements, vos hésitations, vos ronchonnements. Quel intérèt, en effet, peut être le vôtre alors que de magnifiques aventures anticipatoires vous attendent sur les conseils de vos amis du site, sur les catalogues de ces si peu chers livres de poche que j'entrevois sur le Net.

Monsieur Blade, vous serait t'il agréable de vous voir un temps dispensé du récit de mes déboires d'antan ? Mais vos amis semblent insistants en ce domaine. Agissez donc selon votre coeur.

En revanche, il apparait que jamais encore votre plume n'ai trempé dans ses chroniques qui font ma joie, tant celles de vos compagnons de site que celles de votre directeur, Monsieur KGB. Ma plus grande joie serait, je l'avoue, de lire votre avis sur un roman étrange, merveilleux ou insolite de votre choix. Je ne parle pas ici d'une participation à une chronique déjà ouverte, mais de l'amorce d'une discussion autour d'un titre qui vous plutes et non encore référencé. Qu'en pensez-vous ?

Par contre, Monsieur Stealrige, d'origine scandinave je suppose au lu de la phonétique de son nom, semble se faire l'écho d'un compliment par vous écrit et à moi adressé. Il me plairait, n'en doutez pas un seul instant, de le lire et d'en apprécier la potentielle saveur. En vous remerciant d'avance.

Une nouvelle fois apparait cette énigmatique Mademoiselle Lara Croft et dans vos écrits et en personne même, via un texte pour moi difficillement compréhensible. Je m'adresse à vous, chère mademoiselle. Il semble qu'en vous, selon les dires de vos amis, naquit ce féminisme dont à présent il me semble percevoir tous les enjeux bénéfiques à nous le femmes. Pourriez-vous me confier, s'il vous en plait, les fondements de votre détermination, m'expliquer les raisons de votre quète,. Merci à vous.

Monsieur Star6, vos arguments m'ont convaincu. Pas tant vos arguments financiers finalement de si pauvre importance pour la réussite d'un couple, mais davantage votre détermination infatiguable à m'ouvrir si bellement votre coeur. Allez-va je ne suis pas de marbre. Je me rend. Je tressaille. Je tombe en pamoison. Vous avez su trouver le chemin. Mon être immatériel vous atend, vous appartient. Venez chambouller mes octets échauffés.
Post scriptum: avez-vous pensé aux témoins de ce mariage qui sera bientôt notre, car je l'avoue, de récente venue parmi vous, aucun nom ne me vient pour l'instant à l'esprit. Je vous fait en ce domaine une totale confiance.

Je m'en vais de ce pas, chaussé désormais de talons-aiguilles (sans parler des bas résille et des wonderbras) vous laisser à votre quète littéraire, me livrant à nouveau à ce net qui m'attend.

Chère Emma, en plus de celle que je vais te consacrer, tu pourras lire mes chroniques dans un fanzine (sorte de journal amateur) que je suis en train de préparer.

Monsieur Runner comme j'ai hâte de vous lire.

En attendant la réponse de Monsieur Star6 qui semble prendre un malin plaisir à se faire attendre (Ah de mon temps, les hommes étaient à nos pieds) j'ai découvert Monsieur Google et ses images. Au hasard de mes périgrinations d'illustration en illustration j'ai découvert ceci, phénomène météorologique merveilleusement beau, inconnu de mon époque.



Quel prodige de la nature ! Quelle beauté ! Sous quelles latitudes encore inexplorées de mon temps pourrais-je admirer de telles splendeurs ? J'ai hâte de vos réponses.

Mais un doute me perturbe, la malignité innée de l'Homme ne serait'elle pas à l'origine de ce phénomène ?

slt tlmd

c la nuit ici mais ls moustiq i dorm pa

oui ione c dangrx, à cmcer par la douane
j comprends pq on n'a pas envoyé laurel & hardy

emma, l fondmt d ma démarche c ki nous fas pa ch***
j'espr q tu vas en prendre d la graine
fegaf, si tu mets des talons aig. i vont fr de toi une esclave sxlle

bon fo q j m repose 1 peu, c demain q ça se corse
ya interêt q la chroniq soit terminée qd j rentre, blade

a+

		Madame B. : Sous quelles latitudes encore inexplorées de mon temps pourrais-je admirer de telles splendeurs ?

En Perse, ma très chère Dame, en Perse naturellement. Ce que vous voyez sur cette image est en fait une forme très récente et très interessante de champignons. Et la Perse moderne, appelée Iran, développe actuellement son agriculture champignonesque de manière très sérieuse.
Il se peut fort d'allieurs qu'avant même que leurs techniques de cultures soient au point, pour une pousse efficace, ces champignons apparaissent quand même dans cette région ; grâce aux merveilleuses techniques d'import qui existent de nos jours...

MadameBovary dit : "En attendant la réponse de Monsieur Star6 qui semble prendre un malin plaisir à se faire attendre"

Je suis là Madame j'arrive j'accours je vole tralala BOUM BOUM !!!

A propos de ces champignons, leur exportation doit être un marché d'avenir, parce que j'ai un voisin qui a les mêmes dans son jardin, mais je trouve qu'il devrait procéder à une agriculture raisonnée, parce que ça a tendance à envahir tout le quartier. Je m'inquiète un peu pour les jeunes. ça n'aurait pas des effets hallucinogènes, des fois? Déjà que les brûlures ne guérissent pas vite...

		Citation : Je suis là Madame j'arrive j'accours je vole tralala BOUM BOUM !!!

Enfin, vous voilà. Je commençais à me morfondre cher Monsieur Star6. Fait t'on lanterner ainsi la gente féminine en ce nouveau millénaire, est-ce une "mode" désobligeante à notre égard ? Je suppose pour votre défense qu'un embouteillage d'octets à retardé votre réponse. Du moins me plait t'il de le voir ainsi. Mon impatience était pour le moins boudeuse, je ne vous le cache pas. Pensant vous voir vous dérober à vos promesses à l'ultime instant j'étais prête aux pires extrémités, jusqu'à atteindre à mes jours.

De même je m'inquiète de votre caractère qui me semble d'une étourderie folle car au sein de votre dernier massage vous ne faites mention d'aucun témoin de notre union à venir. Il en faut deux, dois-je vous le rappeller ? Y avez-vous seulement pensé ? Faut t'il déjà que je fasse tout moi-même ?

Mais je vous bouscule. Je m'en veux. Alors que le bonheur sonne à notre porte.

MadameBovary me dit : "vous ne faites mention d'aucun témoin de notre union à venir. Il en faut deux, dois-je vous le rappeller ? Y avez-vous seulement pensé ? Faut t'il déjà que je fasse tout moi-même ?"

Nous prendrons Kilo et Octets Mon aimée, cela suffira, il nous faut d'ores et déjà faire attention à nos dépenses Mon choufleur. Et commencez déjà par faire la vaisselle et le ménage, non mais !!! Ah ah ah !!!