En octobre, lectures sobres ?

		Citation : Fini les chemins de Damas , de Bordage . Il me laissera une impression moins forte que l'ange de l'abime . D'abord des sensations de déjà vu avec ce grand voyage vers l'est et l'orient pour découvrir la vérité . Et puis bizarrement le monde décrit semble plus proche de nous que celui de l'ange alors qu'il est chronologiquement plus lointain . Il reste des images chocs et une verve réjouissante , mais si le ton est très noir . Ah , et la fin avec le délire mystico-machin est très très moyenne .

+1 sauf pour la fin que j'ai bien aimé.
Nettement moins bons que L'ange de l'abime auquel il n'apporte pas grand chose.

		Citation : Non, mais je me suis mal inspiré. J'ai été séduit dans Axiomatique par la dimension humaine des problèmes : les interrogations philosophiques et éthiques, les réflexions sur la nature humaine, le coté conte philosophique biotechnologique.

OK ! Je comprends mieux.

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		Citation : Caroline : Je suis sûre que Lord Gamma a plein de qualités. C'est bien pour ça que j'ai tenu 372 pages... Ca me fascine qu'il t'ait plu, parce que vraiment son charme n'a pas agi sur moi une seconde, et que j'aime beaucoup ce que tu écris. Etrange, vraiment ! Peut-être pourrons-nous en reparler aux Utos, si tu as le temps ?

Pas de problème pour trouver du temps aux Utopiales. Il se comporte de façon extrêmement élastique. Surtout aux environs du bar…
ça fait vraiment un bon bout de temps que j'ai lu Lord Gamma, (à parution, en… 2000, je viens de vérifier !!!) j'ai pas mal oublié l'histoire. Par contre, il me reste des ambiances et des lieux. La route et la voiture, l'espère de station spatiale. Et puis il y a des clones…

		Citation : - le dernier magicien de Hobb. Je ne connaissais pas Hobb avant et je dois dire que le bouquin me laisse une impression perplexe . Il y a de bonnes idées dans sa description de cette magie des petites gens qui reste l'apanage de quelques clochards à seattle , ainsi que dans la description de leur quotidien .

C'est effectivement le point fort du livre. Pas si facile à faire. Très agréable à traduire. J'ai envie d'aller à Seattle depuis que je l'ai fait !

		Citation : Par contre , plein de choses ne sont pas résolues ni développées , et la fin m'a vraiment laissé une impression très très légère .

C'est effectivement un peu rapide, comme si elle n'avait pas su comment finir… ou avait absolument voulu éviter une fin trop gaie, d'où une solution pas très satisfaisante… Les personnages en ont assez bavé, c'est un peu superflu… Je ne sais pas si une suite/série était prévue, à priori non… Personnellement, les points laissés en suspension ne me gênent pas (au contraire, en fait, je pense qu'il ne faut pas tout dire/expliquer… mais c'est une autre histoire…)

		Citation : Personnellement, les points laissés en suspension ne me gênent pas

Pareil. D'autant que c'est un roman fantastique, qui joue donc sur le douteet l'émotion — pas forcément dans cet ordre.

Sinon, le rythme du livre est vraiment très particulier, avec un ton que je trouve franchement original. Une gestion très particulière de l'intimisme…

Après ma découverte patrimoniale de Régis Messac (on en reparlera ailleurs), j'entame le nouveau roman de Jean-Bernard POUY qui répond au titre laconique de Nus.
ça commence bien.

		Citation : Après ma découverte patrimoniale de Régis Messac

Ah ! Je ne me rappelais plus qui m'avait inspiré cet achat... Voilà la réponse

Viens de finir Jairal et je commence génération Alpha les2 de M A Rayjean

		Citation : comme si elle n'avait pas su comment finir

.
oui:c'est l'impression qui me reste et c'est ce qui me gène vraiment dans le dernier magicien, .
Ne connaissant pas plus que ça ni l'auteur ni l'oeuvre , je suis resté prudent dans mes commentaires .
Sinon je suis assez d'accord avec le fait de ne pas vouloir tout reboucler , en général .
PS : il n'est pas trop tard , l'été indien est vraiment exceptionnel à Seattle !

Fini les fils du vent de RC WIlson: sympathique. La relation mère -enfant est intéressante, l'idée générale n'est pas d'une grande originalité. Mais bonne lecture.

Fini aussi le vaisseau des voyageurs de RC WIson. Comment ne pas faire le lien avec Spin ? Même schéma, même situation désepérée, même type de personnage, la finalité en moins. Un beau roman aussi.

Fini celui qui bave et qui glougloutte de RC Wagner: très sympa, avec les clins d'oeil habituels. Lecture très agréable.

Aux trois quarts du recueil de JC Dunyach: séparations, dont la nouvelle éponyme est superbe.

Toujours dans Blind Lake de RC Wilson et le nid de coucou de D. Calvo, je viens de me lancer dans l'énigme du cadran solaire de M. Gentle, dans le gouffre de l'absolution de A. Reynolds et seul contre la légion de Williamson.
Faut varier les plaisirs...