En Avril , lectures tranquilles....

		Citation : Il me semble qu'elles sont toutes les 2 bien représentées dans Passage, et renvoyées dos à dos au bénéfice d'une troisième explication

Ah oui, tu as raison. L'explication de Connie Willis, il fallait oser mais c'est une magnifique trouvaille. Enfin, je trouve. Mais je suis complètement willisophile.

Beh nous sommes au moins 2 dans ce cas ;-).

		Citation : avec les Brantonne d'auteurs traduits au FN, je dirais que presque tous (sauf le van Vogt ?) sont des copies des illustrations originales

Je savais pour le Poul Anderson, La Troisième race, the war of two worlds, qui est une fidèle reproduction de l'original,




je savais pour le Clarke que j'ai donné en exemple, mais je ne savais pas que c'était systématique. J'ai essayé de voir sur le Paul French et le Leigh Brackett, mais je n'ai pas trouvé les éditions originales US. Pour le Ron Hubbard, Retour à demain, c'est intéressant (enfin pour celles et ceux que ça intéresse)... On voit que Brantonne n'a retenu que deux fusées de l'arrière plan de l'original...





Tu dis pour les auteurs traduits au FNA. Y compris les Anglais, Tubb et Fearn (Statten et Gridsban) ?

c'est au moins le cas pour le Chandler et au moins deux Leinster (Les voleurs de cerveaux et L'autre côté du monde), pour les Anglais, La planète pétrifiée est par exemple assez proche de l'original (malgré la disparition de l'extra terrestre).



(Scion, 1951, couverture de Ron Turner)

		Gracie : Presque fini : Le Tueur venu du Centaure de Jacques BARBÉRI C'est pas bien :-(

Ah dommage.
Question bête: tu avais lu Narcose et La mémoire du crime avant de te lancer dans Le Tueur venu du Centaure? Ce ne sont pas des histoires indépendantes?

Dans Narcose, j'ai beaucoup aimé:
(Spoiler)
- Cette course affolée dans les boyaux de la première tranche réservée à la Sphérocratie.
- Cette téléportation avortée qui transforme le héros en lamentable écorché-vif.
- Les épigraphes en début de chapitre.
- L'explosion du bar de Célia qui l'entraîne dans une chute où deux univers se rencontrent.
- Les mots-valises équivoques.
... donc au final, beaucoup de choses !

L'extrados en sursis d'une mise en orbite de la ville-sphère, et les mystérieuses Têtes Molles m'incitent à continuer. Je me méfie quand-même d'une suite qui pourrait être de plus en plus fantaisiste. Mais, je ne vais pas faire le rabat-joie puisque je me suis bien amusé au Bar Béri. J'y pousserai mes grolles une autre fois quand l'entrée sera moins chère.

		Citation : Question bête: tu avais lu Narcose et La mémoire du crime avant de te lancer dans Le Tueur venu du Centaure? Ce ne sont pas des histoires indépendantes?

Non, je ne les avais pas lus, comme quoi, la question n'est pas si bête.
Bien sûr certains trucs, du coup, m'ont sans doute échappé. Mais je n'ai pas l'impression que ce soit une suite. Veux-tu lire ce troisième épisode et donner ainsi un avis plus éclairé que le mien ? Je peux t"envoyer mon exemplaire si tu veux

Fini le McBain, qui est définitivement un très grand nouvelliste, avec des textes qui eurent pu être signé Bloch ou Matheson (excusez du peu).
J'ai lu la longue nouvelle de Pilniak : Conte de la Lune non éteinte, un texte inspiré de la mort mystérieuse de Frounze (l'un des bouchers de Kronstadt avec Trotsky et Toukhatchevski), qui fut pour lui le début des ennuis. Avec un passionnant dossier des éditions Champ libre, qui ont eu le goût exquis de le placer après le texte, afin de ne pas en influencer la lecture.

J'ai commencé la lecture d'un Pouy étrange et déconcertant, mais néanmoins magnifique : 5 nazes.

Sandrine et Lobo, vos propos autour des illustrations me font penser à Bob Morane d'Henri Vernes.
Etonnant...!
Je m'explique.
Les Omnibus Lefrancq consacrés au héros contiennent en pages centrales des illustrations au fil du temps, au fil des rééditions des MÊMES couvertures, simplement modernisées pour coller à la mode de l'époque, en matière de coiffures principalement (abandonnant la typique brosse des 50's 60's pour l'abondance en mèches diverses, délaissant les chemises à carreaux..etc)
Je ne peux scannériser sans dégats pour l'exemple mais vais essayer autrement. Je reviens..!
Existe t'il des exemples de ce genre dans le domaine qui nous occupe...?

Edit:


Autre bizzareté:

Et hop:
http://bobmorane.eu/rm/027/t06.jpg

NB: Ceci suppose certains pré-requis intéressants: l'intemporalité de la série, des générations et des générations successives de fans indéfectibles et un marché porteur (en un mot une manne)...etc

Lu la moitié du recueil Serpentine de Mélanie Fazi.

J'ai apprécié l'ambiance de chaque nouvelle mais, par contre, j'ai trouvé les chutes un peu faibles en intensité.

Sauf pour Nous reprendre à la route, que je tiens pour un petit chef-d'oeuvre.

		Citation : Sauf pour Nous reprendre à la route, que je tiens pour un petit chef-d'oeuvre.

+1

C'est le seul texte de Serpentine dont j'ai encore un souvenir précis. Il m'a profondément marqué.

Je suis définitivement addict à la prose de Mélanie Fazi...