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| | Citation :
Ce qui n'empêche pas la sf, y compris française, d'être considérée comme de la sous-littérature chez nous ! |
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C'est ça qui est bien : comme c'est de la sous-littérature, on peut faire ce qu'on veut, personne ne vient regarder.
J'en profite pour rappeler que la SF, à la base, c'est de la littérature de
pulps. C'est là qu'elle est née et il ne faut pas en avoir honte.
Bien au contraire : c'est une origine qu'il convient de
revendiquer.
Prenons un livre de SF… disons littéraire et expérimental. Allez,
Camp de concentration de Thomas Disch. Le retournement final n'est-il pas typique des
pulps ? Et que deviendrait le livre sans ce retournement final.
Il y a quelques années, Norman Spinrad se demandait s'il ne devait pas changer la fin des
Solariens pour une réédition. Parce qu'il trouvait qu'elle faisait trop
pulp, justement.
Justement.
Pour cette raison, il ne fallait pas la changer.
Bon, je retourne traduire de la sous-littérature. C'est de la bonne.