Vos lectures en janvier

Et comme La cité des saints et des fous.

La lumière des morts, de Thierry Di ROLLO.
Bien glauque, mais pas totalement convaincant. Quelques effets faciles, et la faim m'a laissé sur ma fin. Reste une noirceur fascinante.

Après Barrayar de Bujold, j'ai entamé Le canal ophite de Varley.

		Citation : La lumière des morts, de Thierry Di ROLLO. Bien glauque, mais pas totalement convaincant. Quelques effets faciles, et la faim m'a laissé sur ma fin. Reste une noirceur fascinante.

Il faut vraiment lire Meddik, qui doit sortir en folio sf. J'ai lu tout Di Rollo (enfin les romans et quelques nouvelles), et Meddik, son dernier roman publié, est de très loin le meilleur.

Comme je l'ai fini hier soir: le jour des triffides de Wyndham:plutôt bonne ambiance, un zest d'humour, loin des post apo habituels. Et surtout, ça n'a pas pris une ride.

Comme quoi nous avons quand même quelques goûts communs, Oman ;-) !

Lu hier soir La couvée Huysman, de Kate Wilhelm. Lent au démarrage, mais très agréable à lire, et une fin ambiguë, très ouverte.

Fini également de lire hier le tome 3 (Epées et brumes) du Cycle des Epées, de Leiber. Décidément, j'arrêterai là ma tentative de lire ce cycle célèbre : même quand je trouve que c'est bien fait, et/ou drôle, je m'ennuie !

		Galvin m'épate : la faim m'a laissé sur ma fin

^ - ^ ! Tu l'as fait exprès ? Tu veux dire quoi ? Je plussoie avec Olivier sur Meddik, même si je garde personnellement une (petite) préférence pour La profondeur des tombes, mais c'est peut-être parce que c'était mon premier Di Rollo.

		Lisbei : ^ - ^ ! Tu l'as fait exprès ? Tu veux dire quoi ?

Oui, c'est volontaire (je sais c'est un peu facile, mais bon... ne boudons pas les plaisirs simples ;o) )

Je trouve la fin trop rapide, il raccommode un peu tout ensemble avec des "révélations" attendues, et finalement tout ça est un peu creux. Le "transfert" final est un procédé à mes yeux éculé. Il y a des images fortes, mais l'écriture n'a pas la même puissance que dans La profondeur des tombes.

		Galvin, à propos de la Lumière des morts : Il y a des images fortes, mais l'écriture n'a pas la même puissance que dans La profondeur des tombes

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