Que lisez vous ce mois ci ? Juin

après avoir fini les dix nouvelles du bifrost, j'en suis aux chroniques (exercice périlleux que j'apprécie toujours dans les revues sf)

sinon, la suite (prévue mais changement pouvant intervenir inopinément) c'est Dalva de Jim Harrison.

Tiens, en parlant de critiques je me suis amusé à mettre en parrallèle celles de Bifrost 41 (Priest) et Galaxies 39 (Spinrad) couvrant à peu de choses près la même période..! Etonnant de contrastes..!

		Citation : Ce soir, j'entame un période "Classiques" avec Le portrait de Dorian Gray, de WILDE.

Il me tarde d'avoir tes impressions Galvin !

De mon côté j'avais commencé Le signe du chaos de Zelazny avant de m'apercevoir qu'il s'agit du sixième tome d'un cycle !! ... je l'ai donc abandonné au profit de Comme une bête de Farmer

		Ione a écrit : Comme une bête de Farmer

Celui-là, il m'a toujours fait peur. Pas encore osé le lire.

Je commence La guerre des mondes de Wells...

Une relecture :
Notre mère qui êtes aux cieux - James Morrow

		lone : Comme une bête de Farmer

		Gracie : Celui-là, il m'a toujours fait peur. Pas encore osé le lire.

Oh, il ne faut pas en avoir peur. C'est un délire pornographique, excessif et jubilatoire. Rigolo quand on est ado.

Comme une bête et Gare à la bête est un dytpique de polars pornos (je dois en avoir fait une fiche de lecture).
Le premier est un polar porno assez amusant, et le second donne une plus grande profondeur à l'histoire, sur fond de message pacifiste bien agréable : faites l'amour, pas la guerre interstellaire !

Sinon, je me plonge avec grand délice dans les Chroniques de Jean-Patrick Manchette.

		Citation : Comme une bête et Gare à la bête est un dytpique de polars pornos (je dois en avoir fait une fiche de lecture).

Une fiche d'Olivier, et de KGB !

Gracie, en effet, il s'agit plutôt d'humour que d'horreur ou d'épouvante même si le "prétexte" à l'histoire relève de ce thème (pour ce que j'en ai lu pour l'instant).

Globalement, comme une bête est très porno, mais c'en est amusant à lire, contrairement à Vice versa de Delany qui est surtout crade et n'apporte strictement rien à l'oeuvre de ce grand écrivain

Il faut aussi dire, sans entrer dans les détails, que Delany s'étend sur des pratiques assez... particulières.
Et surtout sans humour.

Alors qu'avec Farmer, on se marre. Et en plus, il y met en scène des personnages réels.