Pour les bouquins en août, demande à Lacroute.

		Gracie, à propos du bouquin de Foer dont je ne sais jamais dire le titre : Je ne sais pas pourquoi, je me méfie... J'attends la fiche. :-)

+1 !!

Et en ce qui me concerne, toujours période re-lecture : après le SDA (ben oui, je sais que je le connais par coeur, mais ça faisait longtemps que je ne l'avais pas relu, et j'avais bien besoin de me rincer l'oeil, après avoir vu les films 2 et 3 :-((( !), je relis Chroniques du Pays des Mères (victime de ma propre pub, faut l'faire ! :-D) et Les Innamorati, de Midori Snyder, que j'aime toujours autant. Parmi ceux qui lisent en VO, y en a-t'il qui saurai(en)t si l'auteure a écrit d'autres choses ?

Pandémonium de Johan Heliot
un livre de SF se déroulant à Paris en 1832 et où l'on croise Eugène-François Vidocq. Ce roman se laisse lire mais il est facilement oubliable. Le concept de départ plutôt sympathique est trop peu exploité et on obtient une histoire intéressante mais jamais passionante.
Par contre, je me demande s'il existe une suite ou une préquelle à ce livre. Sans trop spolier, une phrase à la fin laisse suposer qu'il y aurait une suite.

Fini Perdido Street Station samedi dernier : une bonne claque devant l'inspiration et la créativité dont fait preuve l'auteur à grand coup de mélange des genres, mais une fois le lecteur remis de ses émotions, celui-ci se rend compte à mi-parcours environ que l'intrigue est relativement simple et, somme toute, assez manichéenne bien que l'ensemble des évènements restent assez peu téléphonés dans leur concrétisation même à défaut de leur but. C'est à lire, au moins pour savoir ce que c'est, mais je me demande si ce "Voyage à Miéville-City" méritait bien autant de pages. En tous cas, ça donne aussi envie de se pencher davantage sur les autres livres de l'auteur en espérant y trouver une intrigue qui exploite mieux son imagination débordante

Commencé L'Homme Programmé de Silverberg hier soir : il a l'air en forme sur celui-là, on y sent bien le même auteur que sur L'Oreille Interne

		Citation : on y sent bien le même auteur que sur L'Oreille Interne

Et pour cause, c'est le même! ;-D

Etonnant cette faculté qu'a(vait) Silverberg à pondre des kilomètres de bouquins (il doit avoisiner la centaine) tout en gardant un haut niveau de qualité (amha ses seules daubes cosmiques furent le livre des crânes, les déportés du cambrien et Tom O'Bedlam, ainsi qu'une bouze médiocre: le grand silence )

Je ne vois qu'un seul auteur aussi profilique tant quantitativement que qualitativement: John Brunner.

Sans compter qu'à une époque, il arrivait souvent à Silverberg de remplir à lui tout seul - mais sous des pseudos différents - certains numéros de pulps : une productivité rare et de qualité souvent variable, mais inégal n'est-il pas une anagramme de génial ?

Sacrifice de John Farris

heu , l'ami Bob a quand même pondu de sacrées bouzes au kilomètre aussi .
Un ami m'a offert récemment Né avec les morts, la première nouvelle est représentative de sa période " je remplis les pulps à moi tout seul " , et bien , comment dire ....

		Citation : heu , l'ami Bob a quand même pondu de sacrées bouzes au kilomètre aussi .

Ouais. L'oreille interne par exemple :-)

Et je suis sérieuse, même si c'est dit avec le sourire, je le pense vraiment

		Citation : Etonnant cette faculté qu'a(vait) Silverberg à pondre des kilomètres de bouquins (il doit avoisiner la centaine) tout en gardant un haut niveau de qualité (amha ses seules daubes cosmiques furent le livre des crânes, les déportés du cambrien et Tom O'Bedlam, ainsi qu'une bouze médiocre: le grand silence )

Euh... L'ami Bob doit en être à 400 romans ou ouvrages sous divers pseudos (il a écrit plein de vulgarisations sur des sujets variés - dont il tirait ensuite des romans, souvent) et plus de 1300 nouvelles.
Il est très rarement mauvais ou bouseux, même si dans le tas il y a fatalement du déchet. Ceci dit, je fais partie des gens qui trouvent que "le Livre des crânes" est un grand livre (pour mon époque, c'était assez bluffant), quant à "Né avec les morts", je peux juste dire que j'aimerais bien être capable d'en écrire une comme ça, un jour... C'est pas gagné !
En plus, le bonhomme est charmant, passionnant, pas grosse tête pour deux sous et il se laisse facilement approcher.

Je vous poutoune,

Après Malavita de Benacquista (une lecture très agréable), je me lance dans le Neuromanicen de Gibson.
Le début me plaît bien.