Lecture de Mars , lecture qui marche....

		BouquetdeNerfs : Christopher, t'en avais parlé rapidement dans les lectures du mois de janvier.

En mars 2009, en réalité. En janvier, j'ai lu le maître du jugement dernier, une idée de départ intéressante mais un récit qui s'épuise vite pour aboutir à une fin de bric et de broc. Tout le contraire du Cavalier suédois pour lequel je partage pleinement ton enthousiasme.

		Fluoxetine : A ce point là ???

Et plus encore. Si tu aimes Asimov, ne t'approche jamais de ses romans tardifs.

		Citation : Et plus encore. Si tu aimes Asimov, ne t'approche jamais de ses romans tardifs.

Oui, je m'en suis rendu compte avec Les robots et l'empire, une véritable catastrophe ce bouquin...
En fait plus je lis Asimov moins j'aime ses livres. Il a même failli me dégouter de la SF.

J'ai vainement tenté la lecture de la conspiration du loup rouge de Robert V.S. Redick. Lâché la bête après 40 pages. Je ne supporte plus ces séries B de fantasy.

Ce soir, je lis le peuple de papier, de Salvador Plascencia, petit chef-d'œuvre (quoique non sans défauts) de transfiction passé totalement inaperçu lors de sa parution en janvier.

Et, toujours, je continue mon exploration du Donjon.

Un série noire , Mississipi Blues de Gus Weill...

Je relis Psychohistoire en péril de Donald Kingsbury, pas mal du tout, mais s'éloigne à mon avis du cycle d'Asimov. D'un autre côté j'ai l'impression que cette suite n'a pas été vraiment autorisé pas les héritiers d'Asimov comme l'ont été les trois livres de Benford, Brin et Bear.

Le cinéma de Papa de Jean-Bernard Pouy, qui commence par cette phrase mémorable :
"Ma mère est morte et la langouste est excellente."

Fini Le cinéma de papa, un excellent roman noir, probablement le plus manchettien des Pouy.
Je commence Territoires de l'inquiétude - 8.

Suite au lobbying multiforums d'un individu que je ne nommerai pas, j'entame la lecture de Vision aveugle.

Lu Bloodsilver de Wayne Barrow (cousin outre-atlantique de notre Luc Dutour national).
C'est l'aspect uchronique du bouquin qui m'a attiré et je n'ai pas été déçu sur ce point.
Le récit, ultra-documenté, m'a occasionné de nombreuses recherches afin d'y dénicher les points de divergence avec l'Histoire officielle. Exercice au combien plaisant.
Ai particulièrement aimé la mise en lumière de la réalité sordide tapie derrière les "mythes" constitutifs de la "grandeur" U.S (l'épisode de Wounded Knee et les conclusions de la commission chargée d'enquêter sur les évènements sont édifiants).
Bon après, les vampires et le côté western / ruée vers l'or (en fait l'argent ici, pour des raisons évidentes) m'ont moins parlé mais ce bouquin reste pour moi une franche réussite d'autant plus qu'il m'a semblé bien écrit.

		scifictif : Wayne Barrow (cousin outre-atlantique de notre Luc Dutour national).

Je me demande toujours s'ils sont les descendants d'Albert Ledou.