Lecture de Mars , lecture qui marche....

La tribu des morts de Laurent Martin , Gallimard série noire...

Commencé Singularité de Stephen Baxter, tome 2 du Cycle des Xelee. Comme tout le monde j'imagine j'ai été déçu par le premier, Gravité, un roman faible du point de vue de l'intrigue et des personnages, même si la physique du lieu est tout simplement remarquable.
A priori sur les premières pages de Singularité, Baxter is back!

		Citation : Profites-en pour jeter un coup d'oeil à La philosophie de la Renaissance d'Ernst Bloch. C'est court, fort bien écrit et donne un bel aperçu de l'effervescence intellectuelle et scientifique de la Renaissance.

Si j'ai le temps je tâcherais d'y jeter un oeil, mais un bref regard à ma pile de lectures obligatoires en retard me détourne déja de cette voie...

J'ai fini Abysses de Schatzing depuis un certain temps .
Pas mal , pas mal du tout . Beaucoup aimé , la fin n'est qu'un poil ( juste un poil) larmoyo-tirée par les cheveux . Pas suffisamment pour gâcher la bonne impression de l'ensemble .
Jennifer morgue de Stross . Pas accroché , m'a gonflé . Beaucoup trop tiré par les cheveux ( serait ce parce que je ne supporte pas les James Bond ? bon à part celui avec Pierce et Madonna là, qui avait quand même la pêche . )
Une traduction un peu bizarre n'arrange pas les choses .
Les soldats de la mer des Remi . Très bon avec une langue délicieuse en plus . Un chef-d'oeuvre du fantastique français pas assez connu .
Là je suis dans les voyages de Haviland Tuf , de Martin et je me régale avec ce petit roman sympa .

Démarré The windup girl de Paolo Bacigalupi. C'est le même monde que dans deux nouvelles antérieures, the Calorie Man (Dozois 23) et Yellow card man (Dozois 24) que je relis pour l'occasion. Un jeune auteur très fort ce Bacigalupi. Sauf que j'ai du mal à me représenter les "kink springs", qui sont un mode de stockage de l'énergie dans un monde où les sources d'énergie fossile ont disparu. Spring d'accord, mais kink ? S'il y a un(e) angliciste professionnelle dans la salle.

		Citation : La philosophie de la Renaissance d'Ernst Bloch. C'est court, fort bien écrit et donne un bel aperçu de l'effervescence intellectuelle et scientifique de la Renaissance.

Pas lu. Moi j'ai un très bon souvenir de celui de Cassirer, traduit sous le titre Individu et cosmos dans la philosophie de la Renaissance.

		tj a écrit : Là je suis dans les voyages de Haviland Tuf , de Martin et je me régale avec ce petit roman sympa .

Ah ??? M'avait sérieusement ennuyée, ce truc :-s.

Dans les nouvelles de Châteaureynaud, Singe tabassé par deux clowns.

Ouaip
Pour l'instant c'est le roman sans prétention à péripéties "hénaurmes" et multiples , mais pas mal troussé .
Je me laisse embarquer !

		Citation : Si j'ai le temps je tâcherais d'y jeter un oeil, mais un bref regard à ma pile de lectures obligatoires en retard me détourne déja de cette voie...

Ce serait tout de même dommage de rater ça à 20 ans !

		Citation : Pas lu. Moi j'ai un très bon souvenir de celui de Cassirer, traduit sous le titre Individu et cosmos dans la philosophie de la Renaissance.

Le Bloch est très bien, car il est assez court, pour qui voudrait avoir un bon aperçu de la vie intellectuelle à la Renaissance, aussi bien pour les idées (Machiavel) que pour les sciences (Bruno, Galilée). Et puis il est écrit dans un style enjoué, vraiment très agréable (enfin un essayiste qui n'oublie pas le style !!!) avec un enthousiasme communicatif pour l'époque.

Tout ça pour dire que j'ai fini le bouquin de Skinner sur Machiavel. Sachant qu'on le trouve en poche, c'est tout simplement un crime de se priver de ce livre !
Je vais me lancer dans La mémoire et le feu : Portugal, l'envers de l'euroland, de Jorge Valadas. Déserteur des guerres coloniales de Salazar (donc un mec bien), le monsieur est surtout connu sous le nom de Charles Reeve, pour ses excellents bouquins sur la Chine (Le tigre de papier : sur le développement du capitalisme en Chine, 1949-1971 ; Bagnes, bureaucratie, business) et le Portugal justement, avec Les oeillets sont coupés. Il est également le coéditeur des écrits de Marinus Van Der Lubbe, l'incendiaire du Reichstag, dont on voit très rapidement qu'il n'était pas plus débile que stalinien, contrairement à ce que répétait la propagande nazie.