Et si pour bronzer en juillet, imaginaire tu lisais

quelques jours de tranquilité ...

fini Poison bleu , une curiosité de effinger et dozois

LGM, de Wagner : très bien, beaucoup aimé l'humour du bouquin ( comme quoi ca sert de venir sur les forums , je suis en train de retenter de la SF française , et pour l'instant le bilan est plutôt positif )

les puissances de l'invisible , de powers : ( j'ai adoré les powers comme les voies d'Anubis et sur des mers plus ignorées , un peu plus de mal pour certains autres). Là le début m'a un peu rebuté , la passivité du personnage principal me portant sur les nerfs ...
Et puis le roman prend son rythme de croisière et c'est une formidable intrigue/ conspiration.
( complexe quand même , bien content d'avoir pu le lire au calme )

là , suite à un autre fil , je suis dans la reine de la nuit , qui est bien aussi ( pas de la SF , je ne sais d'ailleurs pas où on peut caser ça).

Après il y aura p e marécages ( lansdale), suite à ce que j'ai lu ici , et puis un changement de registre pour quelque temps

		Citation : comme quoi ca sert de venir sur les forums , je suis en train de retenter de la SF française , et pour l'instant le bilan est plutôt positif

Toutafé ;-)

Avec mon background personnel, c'est quasi uniquement la (re)connaissance de la SF française que m'a apporté la fréquentation de CSF (ou de sites voisin mais néanmoins amis)

Fini Siniac, excellent.
Relu Niourk de Wul dans la foulée : très bon.

Terminé Ganesha de Mauméjean.
Bon roman mais sans plus.
J'ai commencé Le dernier baiser de James Crumley. Première enquête du privé C. W. Sughrue, un ancien du Vietnam, amateur de boissons fortes et de femmes. Un régal pour l'instant, malgré un problème récurrent de traduction [inversion systématique et douloureuse du sujet et du verbe dans les dialogues].

Je vient de conclure Procrastination de Terry Pratchett
Il m'a semblé meilleur que les deux ou trois précédents mais il n'arrive pas au niveau des meilleurs Annales du Disques-monde. Il reste tout de même plaisant à rire et on retrouve un peu de cet humour qui faisait le charme au début du cycle. L'auteur semble vouloir faire du neuf mais reste finalement trop accroché à ce qu'il faisait avant et c'est bien dommage.

J'ai entamé L'hôpital des étoiles de James White et c'est pas trop mal pour l'instant.

Je lis Passage de Connie Willis (toujours...)

Arrivé à la page 250, j'ai l'impression de relire indéfiniment la même scène, avec de subtiles variantes à chaque fois. Est-ce dû au fait que je lis ce bouquin entre 1h et 4h du mat ? La trame va-t-elle évoluer vers du nouveau ? Je suis perplexe, car j'aime bien cet auteur.

		Citation : Arrivé à la page 250, j'ai l'impression de relire indéfiniment la même scène, avec de subtiles variantes à chaque fois. Est-ce dû au fait que je lis ce bouquin entre 1h et 4h du mat ? La trame va-t-elle évoluer vers du nouveau ? Je suis perplexe, car j'aime bien cet auteur.

je dois être une fille un peu limitée parce que autant j'adore Willis dans ses nouvelles (surtout celles à vocation humoristique/satirique) autant je suis souvent déçue au fur et à mesure ques les textes s'allongent ou que les sujets sont sérieux (Inside job,Sans parler du chien pour la première catégorie,Le grand livre, Passage pour la seconde).



(Bantam, 2002, couverture de Becker)

		Citation : J'ai commencé Le dernier baiser de James Crumley

Grand livre,bel hommage à Raymond Chandler

Pareil que Sandrine pour les Willis,ses nouvelles sont vraiment meilleures.

Fini les deux derniers tomes de l'Age de la déraison de Keyes,toujours sympa,
et Histoire d'os d'Howard Waldrop,une uchronie très agréable à lire mais pas un chef d'oeuvre non plus.
Commence un recueil de nouvelles de Robert Reed,Chrysalide

		Citation : Commence un recueil de nouvelles de Robert Reed,Chrysalide

important auteur (surtout de nouvelles) assez peu connu par chez nous (si ce n'est par la série Great ship), malgré une production pléthorique (j'ai dû lire presque une centaine de nouvelle de lui) et une gamme de thèmes très étendue.



(Tor, 2004, couverture de Paul Youll)

		Citation : Profité de la ratp pour découvrir les premières pages de Moi, Asimov. Et bien, la clarté de l'écriture, l'ego du bonhomme, la brièveté des accroches n'empêchent nullement l'émotion.

Trente pages d'ego, ça allait, au bout de cent, j'étais un brin lassée, mais après trois cents, c'est devenu insupportable. Il va s'en passer du temps avant que je n'ouvre un nouvel Asimov, le livre est enfin fini, et jamais je ne replongerai dans une oeuvre autobiographique du monsieur. Pour un peu, ça m'aurait dégouttée de la lecture. Et ça, faut le faire !