En juin : lis ce qui te convient !

Calvin

		Citation : Il me semblait que tu faisais donc référence aux derniers livres de Priest

Ben non, juste à cette réedition datée de 2006.
Quoiqu'en y réfléchissant le roman peut passer pour une mauvaise ébauche anecdotique de ce qui allait suivre, une mise en train des thématiques chères à Priest, un avant goût en forme d'essai.

		Citation : Quoiqu'en y réfléchissant le roman peut passer pour une mauvaise ébauche anecdotique de ce qui allait suivre, une mise en train des thématiques chères à Priest, un avant goût en forme d'essai

En fait ce livre me semble dater de la période la plus féconde de Priest,celle qui donne La fontaine pétrifiante le don et les nouvelles de l'archipel du rève.
Une femme sans histoire serait plutôt l'annonce d'une baisse de qualité ultérieure plus qu'une ébauche.

		Citation : Je suis tout-à-fait d'accord avec ça : j'estime que Passage se serait trouvé bien d'être allégé de 150 pages, en fait, alors que je n'enlèverais pas une virgule à Sans parler du chien.

Dans mes bras Lisbei !
...
Hum !
...
Je commence à lire Méchant garçon [Bad Ronald], un polar de... Jack Vance.

Un homonyme ?

		Citation : J'estime que Passage se serait trouvé bien d'être allégé de 150 pages.

Pareil mais +
Avec 400/500 pages au lieu de 900, Passage aurait été un chef d'oeuvre.
C'est le même problème avec Les puissances de l'invisible de Tim Powers beaucoup trop long et encombré de descriptions interminables.
Ou encore Poussière de Lune que je suis en train de lire : un très bon Stephen Baxter mais l'action progressse trop lentement. Là aussi, 800 pages c'est trop.

		Citation : Un homonyme ?

non, le même, mais je crois me souvenir que ce polar (et d'autres) a dû paraître initialement sous le nom de John Holbrook.

		En réponse à Galvin, à propos de la cité des Saints et des fous : Gracie : Moi, j'ai du mal à terminer la cité des saints et des fous, ce n'est pas que ce ne soit pas bien, mais c'est souvent un peu longuet et un peu chiant. Galvin : Et tu as réussi à le finir, finalement ? J'ai calé à la moitié, j'ai fait une pause, puis j'ai lu une nouvelle supplémentaire deux mois après : La Cité... a définitivement regagné son étagère. Avec le recul, je trouve ça soit trop sérieux, soit pas assez. Une grosse farce sous une forme inutilement sophistiquée, et un brin prétentieuse.

Non, je ne l'ai pas fini, mais pas vraiment parce que je ne l'ai pas trouvé bon.
C'est vrai que c'est un recueil assez inégal à tous les points de vue. Je fais une chronique rapide (à compléter par ceux qui auront fini le bouquin)

		Citation : non, le même, mais je crois me souvenir que ce polar (et d'autres) a dû paraître initialement sous le nom de John Holbrook.

Je confirme. Et même un très bon bouquin. Un des meilleurs de l'auteur, AMHA.

Terminé Méchant Garçon de Vance.
J'ai trouvé la fin un tantinet convenue. Mais, ça reste un bon roman.

Je commence Les murailles de feu de Steven Pressfield, roman consacré à la bataille des Thermopyles.
On va mettre ce choix sur le compte d'un effet post-300.

Nous partîmes trois cents
et sans un prompt renfort
nous mourûmes trois cents
sans que vînt un éphore

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