En 2019, sur les écrans, c'est la teuf

		bruss : Mais sa vie va basculer le jour où un sinistre prêcheur leur rend visite. Liz devra prendre la fuite face à cet homme qui la traque sans répit depuis l’enfance…

Ca rappelle un peu La nuit du chasseur, avec le terrifiant Robert Mitchum.

		Citation : Ca rappelle un peu La nuit du chasseur, avec le terrifiant Robert Mitchum.

en effet, voici ce que dit la page wikipedia :

		Citation : Le film est un remake développé de La Nuit du chasseur (1955) de Charles Laughton.

et bien, j'aime bien voir des westerns récents, c'est marrant de voir ce qu'on fait du genre, mais là, il m'en faudra plus pour me décider, car j'ai trop peur que cela gâche le laughton, que je rererereverrai sans doute un de ces quatre...

Je ne me souviens pas de la nuit du chasseur ...... celui - ci est surement nettement plus violent ....

		bruss : Brimstone (...) un film terrible, puissant, parfois à la limite du supportable (...) avec de très bon acteurs et une magnifique image.

J’ai tourné un temps autour de ce film sans jamais me décider à le voir.
C’est que l’intérêt de scènes de torture, ça dépend beaucoup de la façon dont le réalisateur les utilise et les met en scène ; et comme je ne connais rien de ce Martin Koolhoven...

Enfin..., tu m’incites à lui donner une chance.

		morca : (...) que cela gâche le Laughton (...)

Une telle chose n’est pas possible ! ^^


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Revu The program de Stephen Frears, sur l’ascension et la chute de Lance Armstrong.

La première fois, j’avais été un peu déçu.
Par l’aspect documentaire : si l’on a suivi l’affaire, le film ne nous apprend rien.

Cette fois-ci, j’ai pu mieux profiter de ces qualités cinématographiques, qui tiennent avant tout de son casting : dans le rôle principal, Ben Foster, un acteur que j’apprécie de plus en plus, est impressionnant ; l'interprétation du Dr Ferrari par Guillaume Canet est haute en couleur et fort distrayante, Jesse Plemmons (Floyd Landis), Denis Ménochet (Yohann Brunel) et Chris O’Dowd (David Walsh, le journaliste d’investigation) assurent et ça fait plaisir de voir Dustin Hoffman dans un rôle, petit mais pas sans importance, sachant qu’il était jadis prévu qu’il tourne un film sur le Tour de France sous la direction de Michael Cimino.

Soupirs dans un corridor lointain de Jean-Baptiste Thoret.
Il ne s'agit pas d'un documentaire sur Dario Argento, mais de deux entretiens filmés avec l'un des derniers grands génies du cinéma italien. 15 ans séparent les deux entretiens.
Le premier se base beaucoup plus sur l'oeuvre, le processus créatif et l'imagination baroque et foisonante du réalisateur. Le second cherche plus à scruter l'homme, son parcours, ses idées, etc.
Au final, nous avons un film passionnant, du moins pour les fans d'Argento. Le documentaire s'adresse clairement aux connaisseurs, et n'est pas une introduction à l'oeuvre.
Un seul regret toutefois : la musique, si importante (Goblin, Keith Emerson et bien sûr Ennio Morricone) dans ses films, n'est quasiment pas abordée. Alors que pourtant, on se demande ce que seraient Suspiria ou Les frissons de l'angoisse dans la musique des Goblin !

		Citation : Sorry to bother you de Boots Riley

Visionnage bizarre, puisque j'ai du le couper en deux. Et, par hasard, ma première partie s'est arrêtée pile quand le héros se trompe de porte pour aller aux toilettes. Ceux qui ont vu pourront comprendre ma déception à la fin du premier jour (j'attendais beaucoup plus). Effectivement, comme le dit Jim, la deuxième partie est délirante et m'a rabiboché avec le film, même si les 24 heures à ronchonner ont laissé des traces.
Et puis, au fur et à mesure des jours, car je n'en sors pas, l'impression se bonifie... Donc oui, réalisateur à surveiller effectivement... Il m'a fait rappeler de retourner voir Gondry...

		Olivier : Soupirs dans un corridor lointain de Jean-Baptiste Thoret. Au final, nous avons un film passionnant, du moins pour les fans d'Argento (...) Un seul regret toutefois : la musique, si importante (...) dans ses films, n'est quasiment pas abordée.

Dommage pour la musique, en effet.

J’espère voir le film en salle mais, pour l’instant (on attaque la deuxième semaine d’exploitation), les copies n’ont pas encore atterries plus au sud que Clermont-Ferrand...

		morca : Sorry to bother you de Boots Riley (...) j'ai dû le couper en deux. Et, par hasard, ma première partie s'est arrêtée pile quand le héros se trompe de porte pour aller aux toilettes. Ceux qui ont vu pourront comprendre ma déception à la fin du premier jour (j'attendais beaucoup plus) (...) la deuxième partie est délirante et m'a rabiboché avec le film (...)

Le récit connaît un ventre mou, la satire patine, et tu t’arrêtais juste avant la relance... Pas de chance !

Je comprends ta déception ; mais tu as bien fait de persister, pour avoir une image complète du film.

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Annihilation d’Alex Garland, d’après le roman de Jeff Vandermeer.

Même si le sujet m’intéressait, je n’attendais pas grand-chose du film, au vu des noms associés (je trouve que Garland scénariste loupe souvent ses fins et le jeu de Nathalie Portman a tendance à m’irriter).
Finalement, bien que loin d’être emballé, j’aurai quand même passé un bon moment.

L’histoire manque un peu de suspense et les flashbacks sur les problèmes de couple sont superflus mais la balade reste agréable, avec de jolis visuels sur le thème des mutations inter-espèces voire inter-règnes.

Et j’ai apprécié l’interprétation de Nathalie Portman .
Par contre, celle de Jennifer Jason Leigh m’a parue bien terne.

La qualité de rendu des effets spéciaux est des plus variables.
Malheureusement, le pire à mes yeux est concentré dans la fin : un surcroît de numérique quand on traite de la chair, c’est rarement une bonne idée, et le résultat rappelle plus La mutante qu’Alien.

Mais j ai de tres bon souvenirs de La Mutante !!!

Genre ?



Moi j'ai bien aimé Annihilation bon c'est pas génial non plus mais... La Mutante, vraiment ??
Ceci dit, perso, je n'ai pas de souvenir précis de La Mutante (et vu l'image je regrette presque :'D )

Arf!