En 2019, sur les écrans, c'est la teuf

		Citation : Qu'est-ce que c'est ? Run run run away

MOI JE SAIS, MOI JE SAIS !!!
https://www.youtube.com/watch?v=nLTR3LqRMgY

Sinon, en passant, vu IO... boooof...

Hier , regardé " Nerve" .
synopsis : En participant à Nerve, un jeu qui diffuse en direct sur Internet des défis filmés, Vee et Ian décident de s’associer pour relever des challenges de plus en plus risqués et gagner toujours plus d’argent.
Mais bientôt les deux « Joueurs » s’aperçoivent que leurs moindres mouvements sont manipulés par une communauté anonyme de « Voyeurs ». Le jeu vire au cauchemar. Impossible d’arrêter…

Pas le film de l'année , mais un film sympa sur les problèmes liés aux résaux sociaux ...

		morca : Sinon, en passant, vu IO... boooof...

Je n’en avais pas entendu parler ; je vois que c’est sur Netflix.

Je ne suis pas encore rendu à cette chaîne (j’hésitai à user du mois d’essai gratuit pour Annihilation... m’enfin, ce que j’ai vu/su du film par la suite me laisse penser que j’aurai été déçu – sans compter que c’était le genre de film à voir sur grand écran, bordel !)

Bon, je ferai le point, à la fin de l’année, sur les retours concernant ses productions et on verra pour 2020...


Pour revenir à IO, j’ai l’impression que c’est de ces petits post-apos qui se multiplient sur les écrans, petits ou grands. Ça ne doit pas coûter trop cher (trois rues et un bout de campagne vides, deux retouches numériques et vogue la galère...) ; mais pour y trouver de l’originalité, ça doit être coton.

		Citation : Ça ne doit pas coûter trop cher (trois rues et un bout de campagne vides, deux retouches numériques et vogue la galère...)

Voire mieux : du fond vert, et hop, plus qu'à le remplacer par des décors sur ordi.

Sinon, comme Jim, je ne suis guère tenté ni convaincu par Netflix.
J'ai l'impression d'une surproduction, afin que chacun puisse y trouver ce qui lui convient.

Les productions de Netflix arrivent a une vitesse defiant l 'imagination sur les streams , vous avez donc le temps de vous faire une idee ...

		Citation : Pour revenir à IO, j’ai l’impression que c’est de ces petits post-apos qui se multiplient sur les écrans, petits ou grands. Ça ne doit pas coûter trop cher (trois rues et un bout de campagne vides, deux retouches numériques et vogue la galère...) ; mais pour y trouver de l’originalité, ça doit être coton.

ouais... notez bien qu'au début j'y ai cru, mais quand un deuxième protagoniste arrive, ça tourne au huis-clos et au vinaigre - enfin à l'ammoniac, puisque c'est ce dont il s'agit. Originalité, je ne sais pas, mais y trouver un vrai intérêt c'est pas gagné non plus hein...
Bon, on peut pas trop en vouloir par les temps qui courent de plus en plus vite (mais à reculons) de pondre du post-apo...

		Citation : Sinon, comme Jim, je ne suis guère tenté ni convaincu par Netflix. J'ai l'impression d'une surproduction, afin que chacun puisse y trouver ce qui lui convient.

je dirais en un sens : si on trouve ce qui convient c'est pas si mal ^^... mais sérieusement (outre le fait qu'il y a des algorythmes à la base, pour tenter une production qui va répondre au public), j'ai laissé tomber la télé (au sens figuré), un jour j'ai essayé Netflix, et somme toute, quand on veut regarder un truc con de temps en temps, ça vaut bien autre chose, a priori... rien n'interdit d'imaginer qu'à n'importe quel moment je passe à une autre plateforme, voire à rien du tout (vu qu'il existe des moyens de moyenner comme le signale tj)...

Bloody Bird (Deliria), le premier film de Michele Soavi.

Un slasher bien sympathique,
avec quelques facilités scénaristiques
mais une mise en scène soignée et une B.O. entraînante (signée Simon Boswell).

Une adaptation de La couleur tombée du ciel d'H.P.Lovecraft en tournage le mois prochain.
Avec Nicolas Cage en tête d'affiche, je doute...

@Olivier : https://www.youtube.com/watch?v=MJJqXi-ccJA

La saison 1 de The hour.
Résumé assez hâtif : Dans les années 50, en pleine crise de Suez, des journalistes de la BBC décident de lancer une émission d'information, pour en finir avec les chroniques princières et mondaines qui monopolisent l'antenne.
Sauf que le gouvernement ne l'entend pas du tout de cette oreille, en pleine guerre froide.
A cela se greffe de l'espionnage, du polar, et une vision sociologique et historique intéressante : on sent les fissures qui commencent à ébrécher le moralisme victorien, la montée du féminisme (on s'étonne encore qu'une femme accède à un poste à responsabilité !!!).
Outre un scénario impeccable, une reconstitution historique aux petits oignons, il faut surtout saluer le casting, en particulier Ben Whishaw, qui est tout simplement magistral, et Dominic West,formidable.