En 2019, sur les écrans, c'est la teuf

Peppermint

De Pierre Morel (2018)
Avec Jennifer Garner, John Ortiz, John Gallagher Jr.

Synopsis :
Riley North est une jeune mère de famille dont le mari et la petite fille viennent d’être assassinés par un gang. Face à système judiciaire corrompu qui remet en liberté les meurtriers qu’elle avait pourtant formellement identifiés, Riley décide de prendre les armes pour faire payer tous ceux qui, de prêt ou de loin, sont impliqués.

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Une femme dont le mari et la fille ont été tués par un gang de méchants hispaniques tatoués et trafiquants de drogue , décide de se venger , tant la justice est inactive et véreuse ...
Quand elle prend les armes ,notre "Rambo" féminin , fait des dégâts ...

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Avec ce film , j'ai passé vraiment un bon moment ..Bien sûr tout est archi déjà vu , genre "le justicier dans la ville " au féminin ....
Rien de crédible dans tout ça , mais on passe un bon moment , quand "madame" liquide tous les méchants trafiquants ....
De l'action avec cette dame en colère , un flics véreux , un juge pourri et une fin bien sympa , on est content pour elle ..
pas un film inoubliable , mais agréable à voir sans se pendre la tête ...
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La guerre des gangs (Luca il contrabbandiere) de Lucio Fulci.

Le fond du film est pour le moins problématique.
Enfin, pas pour les producteurs mafieux...
C'est qu'elles seraient finalement d'intérêt public ces Familles napolitaines, qui donnent du travail à tant de petites gens et s'opposent au trafic de drogue, importation étrangère, préférant s'en tenir à de saines entreprises telles la contrebande de cigarettes ou le proxénétisme !

Heureusement, le film ne manque pas de qualités de forme, bénéficiant d'acteurs charismatiques (Fabio Testi, Marcel Bozzuffi) et comportant son lot de séquences marquantes aux effets gore bien sentis.
Je regrette juste la musique de variété envahissante sur certaines scènes d'action.

The last girl de Colm McCarthy,
d’après le roman de M. R. Carey*, The girl with all the gifts.

Ça fait bien plaisir de voir qu’on peut encore produire de l’originalité dans le genre surexploité des films d’infectés/zombies voraces.

Je plussoie les avis suivants :

		Fiotox : Un excellent film de fin du monde (...) Les britanniques sont décidément doués...

28 jours plus tard, Shaun of the dead et maintenant ce film..., ils auront fournis de belles œuvres au genre.

(heureusement que l’on peut compter sur eux, parce que de l’autre côté de la Manche, c’est la disette...)

		LeGaidol : Pas mal du tout ! Le renversement de point de vue apporte vraiment un peu de fraîcheur au film de zombie. (...) Et puis, les acteurs sont très bons (...)

J’ai beaucoup aimé le ton du film, son ambiance, l’alchimie entre ses acteurs.

Ils vont la nourrir avec quoi leur institutrice ?
---> Vive l’alimentation en conserve ?


* lequel, il est à parier, a sûrement lu la nouvelle de Dan Simmons, Photo de classe.

Jim >> Je me suis fais exactement la même réflexion.

90's de Jonah Hill, qui signe sa première réalisation.
Et c'est un coup de maître, certainement l'un des meilleurs films de l'année.

Il marche assurément dans les pas de Paul Dano : un jeune acteur qui passe derrière la caméra, et signe un chef-d'oeuvre.

Rémi , sans famille ..
De Antoine Blossier (2018)
Avec Daniel Auteuil, Maleaume Paquin, Virginie Ledoyen

Synopsis :
Les aventures du jeune Rémi, orphelin recueilli par la douce Madame Barberin. A l’âge de 10 ans, il est arraché à sa mère adoptive et confié au Signor Vitalis, un mystérieux musicien ambulant. A ses côtés, il va apprendre la rude vie de saltimbanque et à chanter pour gagner son pain. Accompagné du fidèle chien Capi et du petit singe Joli-Cœur, son long voyage à travers la France, fait de rencontres, d’amitiés et d’entraide, le mène au secret de ses origines…

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Rémi est un petit garçon trouvé bébé dans son couffin et adopté par les Barberins .
Ne pouvant faire face aux difficultés financières , le père décide de l'emmener à l'orphelinat , mais c'est un musicien ambulant , vitalis ,qui "achète " l'enfant ...
Avec ses animaux , ils vont de villages en villages canter et faire des tours ....

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Le film est gentillet et ravira les petits et les grands ; personnellement , j'ai été un peu déçu , même si Daniel Auteuil en Vitalis est assez crédible ...
En effet malgré les beaux paysages et le thème dramatique de l'histoire , on ressent moins l'émotion que dans le film avec Gino Cervi de 1958 ...
En plus 2 chiens ont disparu de l'histoire , même si ce n'est pas primordial ....
Je dois vieillir et être moins sensible ..?

La nurse de William Friedkin.
Un film mineur, mais pas inintéressant.
Le thème est original (qui irait chercher les druides ?), les effets spéciaux tout à fait corrects, un zeste de gore parfaitement réussi, et le film a plutôt bien vieilli.
Une curiosité à (re)découvrir à l'occasion.

Je me souviens avoir trouvé les effets spéciaux du prologue assez maladroits...

Je ne déteste pas le film mais à part le thème principal et quelques belles séquences au clair de lune, je n’en retiens pas grand-chose.


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Point limite (Fail-Safe) de Sydney Lumet.

Un classique du film de péril atomique à la hauteur de sa réputation.

Une réalisation nerveuse et beau casting d’ensemble (dont Larry Hagman, futur J.R.,
qui s’en tire bien en jeune traducteur sous pression) servent à merveille un récit à la tension permanente.

		Citation : Je me souviens avoir trouvé les effets spéciaux du prologue assez maladroits...

J'avais bien aimé les branches en formes de doigts crochus, qui craquent comme du bois.
Vu le budget très faible, c'est plutôt pas mal.

Et l'art de filmer de Friedkin y est pour beaucoup.

Mais il est clair qu'il a fait beaucoup mieux.

Les branches, ça allait. C'est plutôt le rendu de la gueule de l'arbre qui m'avait fait tiquer...

Mais c'est vrai que la mise en scène de Friedkin reste efficace.
Formé à l'école du documentaire, il sait en effet manœuvrer avec des budgets (relativement) limités.