En 2017, de la séance ciné sois adepte.

Le réalisateur Alain Jessua est décédé. Il avait 85 ans.

Même si je ne les trouvais pas toujours pleinement convaincants, j’aimais bien ses films (en particulier Les chiens et Paradis pour tous – en collaboration avec André Ruellan), son sens de la satire et sa façon d’aborder la SF par la bande.

		Citation : Même si je ne les trouvais pas toujours pleinement convaincants, j’aimais bien ses films (en particulier Les chiens et Paradis pour tous – en collaboration avec André Ruellan), son sens de la satire et sa façon d’aborder la SF par la bande.

Traitement de choc était une très belle réussite en matière de cinéma d'horreur, et Armageddon était également fort bien.
Je retiens aussi et surtout un homme qui sélectionnait méticuleusement ses acteurs, et les dirigeait avec maestria.

Vu un bout de Tusk De Kevin Smith ....Un homme transformé en morse , c'est horrible , cruel.......qui connait ce film ?

Aujourd'hui, ça s'impose.


L'occasion ou jamais de le voir...

Sur Allocine ce nav ... film a été occulté de sa filmographie.

		bruss : Vu un bout de Tusk De Kevin Smith ....Un homme transformé en morse, c'est horrible, cruel.......qui connait ce film ?

J’en ai entendu parler de deux façons : 1/ c’est effectivement horrible et cruel, 2/ c’est un navet. Alors je n’ai pas été tenté (de l’emprunter en médiathèque), d’autant que je ne goûte le torture porn qu’à doses limitées.

		Olivier : Sur Allocine ce nav ... film a été occulté de sa filmographie.

Dans cet article hommage, oui. Toutefois, le révisionnisme n’atteint pas la page présentant sa filmographie complète.

L'occasion aussi, pour les fans d'Ubik, de revoir Jean-Philippe...

The monster de Bryan Bertino.

Quand j’ai choisi ce film, je n’avais pas fait attention à qui en était le réalisateur ...et c’est tant mieux car sinon je ne l’aurais probablement pas regardé et me serais privé d’un bonne surprise.

En effet, le premier film de Bertino, The strangers, m’avait agacé, parce que sa mise en scène maladroite d’un sujet pourtant facilement anxiogène (le home invasion) ne rendait pas justice aux efforts de son interprète principale.

La mise en scène de The monster m’a parue nettement plus efficace et la bestiole en titre plutôt réussie (y’a pas à dire : c’est quand même mieux quand ces bêbêtes sont conçues en dur, en gardant les CGI pour les retouches).

Quant à la direction d’actrices, elle est de nouveau très bonne, que ce soit pour l’adulte ou l’enfant (Zoe Kazan et Ella Ballentine). Et il le fallait car c’est la relation particulière entre la mère et sa fille qui porte le récit – ce qu’évidement la bande-annonce ne montre pas le moins du monde, se focalisant sur l’action...

En l’état, le film n’est sans doute pas un chef-d’œuvre (il a à mon avis des problèmes de rythme dans sa seconde partie) mais une bonne petite série B horrifique.


PS : à l’origine, le film était prévu avec un autre titre et Elisabeth Moss en premier rôle.

Les enquêtes du département V (2013) - de De Mikkel Norgaard
Avec Nikolaj Lie Kaas, Fares Fares, Sonja Richter

Synopsis :
Après une bavure qui coûte la vie à l’un de ses collègues et laisse son meilleur ami paralysé, l’inspecteur Carl Mørck a presque tout perdu. Mis sur la touche, privé du droit d’enquêter, il est chargé d’archiver les vieux dossiers du commissariat avec Hafez el Assad, l’assistant d’origine syrienne qui lui est imposé. Mais très vite, les deux policiers désobéissent à leur supérieur et rouvrent une enquête jamais résolue, la disparition mystérieuse d’une jeune politicienne prometteuse survenue cinq ans auparavant. C’est la naissance du Département V et sa première enquête...
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Tiré d'un roman scandinave , ce premier volet d'une série de 3 , est vraiment passionnant et très sombre ...les personnages sont au final assez sympathiques ...Une histoire bien construite , un film à voir ...

X files saison 5, une très bonne saison, avec du beau monde au scénario : Stephen King pour un épisode dans le Maine, et Gibson et Maddox pour du pur cyberpunk, autrement plus supportable à l'écran qu'en livre.

Tueurs : un polar belge au cordeau, sec, qui remue les eaux troubles des tueurs fous du Brabant, avec un Olivier Gourmet parfait (comme d'habitude ou presque).