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Sujet proposé le 17/12/2009 à 22h56 par Ultrarat |
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RE : Avatar
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11/01/2010 à 02h37
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J'ai vu le film une première fois en 2D, une seconde en 3D : la 3D fatigue un peu le nez (lunettes), mange 20% de la luminosité et de la saturation des couleurs. De plus, il faut un certain temps pour accoutumer, ce qui fait que dans les scènes rapides on arrive à perdre quelques informations. J'ai pris plus de plaisir en 2D.
Vu en VF : traduction correcte. A mon avis, éviter les sous-titres en 3D si l'on n'entend pas l'anglais directement.
Ceci dit, côté film proprement dit, c'est un magnifique spectacle. C'est la véritable entrée du cinéma dans la SF, car à partir de maintenant tout est possible : tous les univers, les personnages, les mondes sont dorénavant filmables. Cameron a bouché tous les trous qui restaient dans la technique cinématographique, et je pense (j'espère) que l'on verra plus de SF à l'écran.
J'ai pris beaucoup de plaisir à me laisser porter par ce film. Oui, le scenario est simple, un peu manichéen ; mais l'histoire a du souffle, les personnages sont attachants (les gentils, et le méchant n'est pas beaucoup plus caricatural que le sergent de Eyes Wide Shut) et les décors sont magnifiques (quoique les images nocturnes semblent un peu kitch, mais c'est Gaïa qui éclaire son monde).
Donc, quant à moi : je recommande !
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30/05/2005
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RE : Avatar
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21/01/2010 à 14h43
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Critique pas ininteressante... je la qualifierais de pitoyable!
Quand on écrit ça
| | | | | | Citation :
celui d'Alpha du Centaure, (à 4,4 milliards d'années-lumière tout de même !) |
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Erreur de rapport de 1 à 1 000 000 000, c'est carrément de l'incompétence incommensurable (parait que l'esprit humain est incapable de vraiment conceptualiser au dela de 10 000: après 100x100, c'est de l'abstraction). Bref quand un article commence comme ça, j'ai de gros doutes quant à la qualité de la suite.
Ou ça:
| | | | | | Citation :
le mécanisme de sélection naturelle, c'est-à-dire le jeu local et aveugle du hasard et de la sélection proposée par Charles Darwin il y a cent cinquante ans, et qui reste à ce jour d'une formidable puissance pour expliquer l'ensemble de l'évolution du vivant |
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Heureux de voir que cet auguste intervenant vient de mettre fin à plus d'un siècle et demi de débats scientifiques, philosophiques et théologiques sur une des interrogations majeures de l'humanité. Comme dirait Michel Fugain: bravo Le Monde pour publier ce genre de prose en la qualifiant de "débats"!
A part ça les plus récentes avancées en génétiques ont tendance à aller à l'encontre de Darwin, mais ce n'est pas grave, ça fait culturé dans le propos de mettre ce genre de référence dogmatique, ça donne comme qui dirait une caution scientifique.
Mais on va plus loin:
| | | | | | Citation :
toutes les ambiguïtés dont les biologistes se sont progressivement et salutairement éloignés grâce à Darwin et ses continuateurs, notamment celles qui voudraient que des forces obscures, pourquoi pas divines, interviennent à des moments-clés de l'évolution pour lui donner une direction. |
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Voudrait on nous faire accroire que si on n'est pas darwiniste on est forcément créationniste voire des afficionados de Michael Denton? Michael Denton qui d'ailleurs se fait copieusement habiller pour l'hiver un peu plus loin, sans toutefois être cité. Cette forme de dogmatisme qui n'a de scientifique que l'apparence est plus qu'intellectuellement suspect: c'est pour moi toxique et malhonnête. Que Mossieur Thomas Heams ait ce type d'opinion, très bien, cela n'engage que lui.
Mais si il veut convaincre et la défendre, il faut ARGUMENTER, et avec autre chose que ce préchi-precha de campagne à partir d'un grand spectacle hollywoodien.
Et quand on conclut par
| | | | | | Citation :
Parmi d'autres, l'idée que l'espèce humaine n'est ni plus ni moins le produit du hasard et de la sélection que toutes les autres formes vivantes en choque encore beaucoup. C'est pourtant le cas |
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, c'est qu'on ne vaut pas mieux qu'un ayatollah de bazar.
Les temps changent: au lieu de juger et de bruler (ou lapider, c'est au choix) au nom de la Bible, de la Torah ou du Coran, on utilise aujourd'hui l'évolution des espèces.
Meet the new boss, same as the old boss
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 C'est curieux chez les marins ce besoin de faire des phrases...
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