Que lisez vous en Sf et fantasy en octobre ?

Comme Bull, je trouve le happy-end complètement logique avec la nature du roman. Ca ne peut pas mal se terminer.

Pour la rapidité de l'explication, je crois que ça fait presque l'unanimité, mais il paraît que c'est aussi dans la logique de ce genre de roman.
Mais quand même ! J'aurais bien aimé en savoir un peu plus.

		Citation : Comme Bull, je trouve le happy-end complètement logique avec la nature du roman. Ca ne peut pas mal se terminer.

Mon roman précédent le chant... était l'ombre du shrander. Ceci expliquant cela.

Omar

		Citation : Commencé: le disque rayé de Kurt Steiner.

J'avais adoré. *^pgrrrrrr==;^^^^. J'avais adoré.*^pgrrrrrr==;^^^^. J'avais adoré.*^pgrrrrrr==;^^^^.J'avais adoré.*^pgrrrrrr==;^^^^.J'avais adoré.*^pgrrrrrr==;^^^^.J'avais adoré. *^pgrrrrrr==;^^^^.

Jim

		Citation : Le grand nocturne, recueil de nouvelles de Jean Ray.

Alors là, même si je n'ai jamais lu le receuil en question, ton avis va être d'une capitale importance. Jean Ray fait partie de mes "Laissés pour compte", et pourtant au rang des vieux auteurs fantastiques il tient à mon sens une place capitale tant ma sensibilité s'accorde à sa façon d'écrire qui n'oublie pas la poésie des mots assemblés..!

"Sur un quai de Rotterdam, les winchs* pêchaient, hors des cales d'un cargo, des ballots pressés de vieux papiers; le vent les hérissaient de banderilles multicolores, quand, tout à coup, l'un deux éclata comme une futaille dans la flamme..Les dockers, en hâtifs coups de pelles, endiguèrent l'avalanche frémissante, mais une grande partie fut abandonnée à la joie des petits enfants juifs, qui glanaient l'éternel automne des ports..! Il y avait là de belles gravures Pearsons, coupées en deux par ordre de douane, des liasses vertes et roses d'actions et d'obligations, derniers frissons de retentissantes banqueroutes; de pauvres livres dont les pages étaient jointes comme des mains désespérées, et ma canne fourrageait dans cet immense résidu de la pensée, où ne vivait plus ni honte ni espérance"

"La ruelle ténébreuse" nouvelle in "Histoires d'aberrations"_Presses Pocket


*winch=treuil

		Citation : Mon roman précédent le chant... était l'ombre du shrander. Ceci expliquant cela.

Oman ! Arrête de lire des horreurs pareilles ! ;-)

Phèdre à l'arrache ce matin de 8 à 9 (z'ai oublié d'le lire m'dam..! Trop occupé avec M'dame Bovary..!)

		Citation : Phèdre à l'arrache ce matin de 8 à 9

Dommage ami Bladerunner, je pense que Phèdre méritait un peu plus d'attention...

		Citation : J'avais adoré. *^pgrrrrrr==;^^^^. J'avais adoré.*^pgrrrrrr==;^^^^. J'avais adoré.*^pgrrrrrr==;^^^^.J'avais adoré.*^pgrrrrrr==;^^^^.J'avais adoré.*^pgrrrrrr==;^^^^.J'avais adoré. *^pgrrrrrr==;^^^^.

Fini hier soir. J'ai adoré. C'est court, c'est étrange, c'est bien construit.

		Citation : Oman ! Arrête de lire des horreurs pareilles ! ;-)

hé hé ce n'est pas si horrible que ça, c'est même bien par certains côtés. Ce qui m'a le plus gêné, c'est la forme.

		Citation : J'ai adoré. C'est court, c'est étrange, c'est bien construit.

+1

Du même auteur, je te conseille fortement le très dickien Mémo paru en Folio sf sous son vrai nom : André Ruellan.
A lire d'une traite.

Après Le roi des rats, de Miéville, que j'ai plutôt bien aimé, malgré ce que j'estime être des outrances de style, mais où on retrouve bien les caractéristiques de l'auteur, je lis Chasseurs de chimères, l'antho de Lehmann sur la SF française du début XXe. Intéressant.

La parabole des talents d'Octavia Butler
Décevant par rapport à l'excellent La parabole du semeur
Trop long, l'impression de redites et une fin baclée.
Pas mal, sans plus.

Amha, sur un thème voisin (l'Amérique sombrant dans le chaos), Jack Womack avait fait plus fort et plus pessimiste encore avec son Journal de nuit