Que lisez vous ce mois ci ? Mai

Lone, ne s'agit t'il pas plutôt des nouvelles des siècles futurs?

Je croit que je vait me l'offrir.

Psychocouack

		Citation : J'ai abandonné "un cas de conscience" du même auteur (trop abstrait à mon goût) sans en faire un.

Abstrait ? non, pas vraiment. Du moins je n'ai pas trouvé. Reflexion théologique, oui. Un très beau roman, d'ailleurs.
C'est pourquoi je vais me procurer semailles humaines prochainement, avec l'invasion divine de Dick et l'enchassement est prévu pour bientôt ;)

>Psychohistorien: tu vas faire râler Ione (avec un "i" ) :D

En cours: toujours Olympos de Simmons.

Fini les Hybrides de Thiellement (je vous conseille la lecteure de cet auteur, c'est très sympa), et Emergence de Hamilton

Pas trop la tête à lire de la SF en ce moment. Je vais faire un petit break et en profiter pour creuser un peu la bibliographie de Murakami (je commence Après le tremblement de terre ce soir) et peut-être aussi pour lire quelques classiques (et surement relire un Kafka en passant).

A propos de Murakami et Kafka :

		moi-même, le 15 mars : Ayé, j'ai fini Kafka sur le rivage de Haruki MURAKAMI ! Que dire ? Les moins : - Un personnage principal un peu trop préoccupé par sa zigounette, même pour un ado de 15 ans (quoique celà ne soit pas entièrement gratuit...) - Des passages "obscurs", et ce malgré plusieurs relectures/retours en arrière de ma part. Les plus : - Très agréable à lire - Deux histoires en parallèle, une "sérieuse" et une plus décalée, voire franchement loufoque - Des personnages hauts en couleurs. Les plus ou moins, c'est selon : - Un rythme lent, une histoire assez intimiste - Une symbolique très poussée, que je ne pense pas avoir totalement saisie Bilan nuancé, donc. Mais j'ai envie de lire d'autres livres de MURAKAMI, donc je dirais que j'ai bien aimé.

Je dois dire que deux mois après la lecture, j'aurais tendance à revoir le bilan à la hausse. En effet, il m'arrive encore régulièrement de penser à ce livre, dont certaines images sont vraiment obsédantes. Je crois que c'est un livre qui a besoin d'être "digéré", et probablement relu.
Je lève donc mes réserves initiales et prends la responsabilité d'en conseiller la lecture.

Après le très long(uet) Strougatski, je replonge en enfance avec Cristal qui songe de Sturgeon.

Les plus qu'humains en relecture,
quelques nouvelles de Fredric Brown dans Paradoxe perdu, toujours savoureux,
et les premiers tableaux de la Terre mourante selon Jack Vance dans Un monde magique (The dying Earth), avec un style simple et fluide que je trouve remarquable.

Hmmm, dommage d'abandonner la lecture d'un cas de conscience de James Blish, même si l'action est lente, cela reste un chef d'oeuvre en "theologic-fiction".
Semailles humaines est très différent mais lui aussi est une réussite sur le thème des "hommes adaptés" pour la colonisation spatiale.
James Blish, un auteur dont on ne parle pas assez son cycle Cities in flight étant aussi une réussite

Relecture, en ce moment :
La balle du néant, et Les ravisseurs quantiques, de RCW (c'est vrai que dans le bon ordre de lecture, c'est mieux)
Les plus qu'humains, de Sturgeon

Prévu :
La compagnie noire, de Glen Cook (omnibus)
Radix, d'Attanasio
L'odyssée de l'espèce, de RCW (relecture)

		Citation : James Blish, un auteur dont on ne parle pas assez son cycle Cities in flight étant aussi une réussite

+1

		Ione : Va falloir que je fasse un choix... j'hésite entre trois bouquins.Cablé de Walter de Johns Williams,Jack Baron et l'éternité de Norman Spinrad, Au carrefour des étoiles de Clifford D. Simak

Sans hésitation, Jack Barron et l’éternité en premier.
Il sera toujours temps après d’aller faire un smack à Simak ou de te connecter sur Williams.


Sinon perso, je lis La possibilité d’une île de Michel Houellebecq
Allez ! Pour le fun, une première impression à mi-lecture:

Une bouleversante transcendance de l’angoisse existentielle s’affirme dans cette œuvre. Servi de main de maître par une écriture éblouissante de simplicité, un style épuré jamais rencontré depuis le dernier (et mémorable) Oui-Oui, le vide hallucinant de l’inconnaissable, de la non-raison d’exister, du négatif absolu et concentré aboutit chez le lecteur glacialement subjugué à une vaste et profonde pulsation qui s’épanouit dans ce rien qui comble les éternités.

MOUHAHAHAHAHA ! (TOUKO ©)

Si j’ai le temps, je ferai une fiche de lecture. Je ne sais pas encore si je vais l’orienter "Schopenhauer pour les nuls" ou alors " Blanche-fesse et les sept mains ". J'hésite. De toute façon, ce n’est pas pour tout de suite.

>zomver: Euh sinon, c'est bien ?

J'avais oublié: j'ai commencé de la terre à la lune de Jules Verne.