En 2023, lis ce que voudras

		Citation : On sent qu'Anderson se fait plaisir. Le voyage dans le temps n'est en fait qu'un prétexte à des contextes attrayants. Mais malgré le talent de Wells, de Zemekis, de Barjavel ou de Gilliam le concept reste fondamentalement bancal. Il n'y a qu' Un paysage du temps de Benford qui tient à peu près la route.

Et Voici l'homme de Moorcock, l'une des plus belles histoires de voyage dans le temps, avec Avril à Paris de Le Guin.

		Citation : Mais malgré le talent de Wells, de Zemekis, de Barjavel ou de Gilliam le concept reste fondamentalement bancal.

C'est l'expression de la plus grande frustration humaine face à l'entropie.
C'est aussi une terre d'exploration

		Olivier : l'une des plus belles histoires de voyage dans le temps, avec Avril à Paris de Le Guin.

Oui 👍 Elle est bien écrite, c’est un voyage dans le temps où les protagonistes - ces personnages épris chacun à leur façon d’une forme de solitude - se retrouvent à partager un bout de vie ou à échapper à leur condition. Le contexte d’écriture de la nouvelle (séjour à Paris de l'écrivaine pendant sa thèse) prend tout son sens.
J’ajouterai Sans parler du chien de Connie Willis, parmi les beaux voyages temporels

J'ai beaucoup aimé aussi Sans parler du chien (beaucoup moins le Grand Livre).
Mais le voyage dans le temps qui m'a laissé le meilleur souvenir (un voyage sans machine), c'est Le Voyage de Simon Morley (Time and Again) de Jack Finney.

		Olivier : J'avance dans le Sturgeon [Un peu de ton sang], ouvrage à la fois atypique (purement réaliste) mais aussi sturgeonien (personnage différent, père tyrannique et famille dysfonctionnelle), le tout dans une profonde noirceur.

Lue hier, en médiathèque, l'excellente postface de Steve Rasnic Tem :
le texte qui lui déplaît en première lecture, puis ne cesse de le tarauder...

		soleilvert, en lien : Robert Silverberg, Reflections : The Neanderthal Cathedral

J'avais beaucoup aimé sa nouvelle sur l'homme de Néanderthal, La maison en os.

Plus généralement, je crois que je dois pour beaucoup à Silverberg la prise de conscience que le passé lointain nous est aussi inconnu, et source de sense of wonder, que le futur lointain.

		Citation : J'avais beaucoup aimé sa nouvelle sur l'homme de Néanderthal, La maison en os.

Sur un thème proche, il y a La grotte du cerf qui danse de Simak, qui lui avait valu une flopée de prix totalement méritée. C'est un texte exceptionnel.

Vegan psycho - Freeric Huginn.

Apres Elements of Fleet , une conclusion au cycle de la Praxis de WJW avec Imperium restored . Plaisir de retrouver ces personnages depuis 2000 dans une oeuvre pas forcement revolutionnaire mais pour lequel j 'ai gardé une tendresse certaine . ( et qui maintient un certain niveau de qualité pour l 'auteur , dans la ligne de ses oeuvres des années 90 , au contraire de ses series Quilifer et TINA..)

Bonjour,
Je suis sur le quatrième pavé de "L'aube de la nuit" de Peter F. Hamilton.
J'en ai encore trois à me farcir. Mais je vais les finir. Oui....je les finirai.
Bon, déjà, moi je n'aime pas du tout les histoires de morts vivants. Et là, je suis servi.....
Puis, des dizaines de personnages, certaines n'apparaissant qu'une fois ou deux. Pire que "Les frères Karamazov" ! Ceci dit j'avoue que les passages sur la planète Lalonde ne laissent pas indifférents. Je trouve aussi le coté space-op dénué de grandeur, de cette immensité qui fait les bons romans du genre.
Mais bon, ce n'est que mon avis et puis je n'ai pas encore terminé le cycle.
P.....encore trois pavés.....

Les pommes d’or du soleil de Ray Bradbury.