En 2023, lis ce que voudras

Je suis presque au tiers du Bradbury, et je suis enchanté.
Il est vraiment dommage qu’on le limite trop souvent aux Chroniques martiennes et à Farenheit 451.
Certes, ce sont des chefs-d’œuvre, mais ce ne sont pas ses seuls chefs-d’œuvre.

On passe de la contemplation bucolique Simak à la folie angoissante de Matheson, ou une mélancolie et une empathie teintées de Lovecraft.

Bref, c’est excellent.

		Olivier : Il est vraiment dommage qu’on le limite trop souvent aux Chroniques martiennes et à Farenheit 451. Certes, ce sont des chefs-d’œuvre, mais ce ne sont pas ses seuls chefs-d’œuvre. [Dans Les pommes d'or du soleil] On passe de la contemplation bucolique Simak à la folie angoissante de Matheson, ou une mélancolie et une empathie teintées de Lovecraft.

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Au travers de ses nouvelles, il montre bien sa maîtrise de différents registres, du plus solaire au plus sombre.

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J'entame mon premier recueil de Lino Aldani, Bonne nuit Sophia (Quarta dimensione).

Rien qu'au lu des deux premières nouvelles (Canis Sapiens ; Technocratie intégrale),
je sens qu'il va me plaire, l'animal... ^^

		Citation : J'entame mon premier recueil de Lino Aldani, Bonne nuit Sophia (Quarta dimensione). Rien qu'au lu des deux premières nouvelles (Canis Sapiens ; Technocratie intégrale), je sens qu'il va me plaire, l'animal... ^^

Aldani est un immense auteur, injustement oublié par l'édition et donc le public.

La femme de ménage - Freida McFadden .

		Olivier à propos Des Pommes d'or du soleil de Bradbury : Il est vraiment dommage qu’on le limite trop souvent aux Chroniques martiennes et à Farenheit 451. Certes, ce sont des chefs-d’œuvre, mais ce ne sont pas ses seuls chefs-d’œuvre. [Dans Les pommes d'or du soleil] On passe de la contemplation bucolique Simak à la folie angoissante de Matheson, ou une mélancolie et une empathie teintées de Lovecraft.

Pas tombé dans l'oreille d'un sourd, et côté plaisir des yeux, tu as cité sur l'autre fil Marie-Christine Forest, mais Vincent Froissard mérite aussi bien des louanges :

		BdN : Vincent Froissard mérite aussi bien des louanges

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Il avait livré une belle série d'illustrations pour PdF à l'époque.
Pour accompagner Bradbury et d'autres auteurs :



J'ai aussi beaucoup aimé, par la suite, son illustration pour La forêt de cristal :

		Citation : Vincent Froissard

Effectivement, un excellent illustrateur.

Meurtres à la tire - Peter Randa . S.P 1956.

J'ai fini Unity. Il y a des concepts intéressants mais beaucoup de défauts caractéristiques d'un premier roman. Et puis le sous-texte politique est d'un basique... habituel en SF : Faut être gentil et uni. Vers la fin du livre t'as Danae qui dit en gros : "la similitude c'est pas bien". C'est pas comme si les garçons aimaient sortir entre copins, et les filles entre copines ; ou si les enfants aiment fréquenter des enfants du même âge. Sa vision est étriquée.

Tout est foutu

C’est une tentative de Gaidolerie