En 2018, un rythme de lecture inuit !

Je me lance dans Odyssées aveugles, recueil de l'auteur britannique Eric Brown. Un titre exhumé de ma pile de livres édités par feu DLM éditions.

L'Enfant qui marchait sur le ciel.Pierre Suragne .

		Olivier : Hormis L'homme qui rétrécit, le meilleur de Matheson à l'écran reste les épisodes de La quatrième dimension dont il a signé le scénario.

+1

Parmi les films, j’apprécie aussi Duel, Hypnose (et dans une moindre mesure La maison des damnées), mais guère plus…

		Olivier : (…) son fils (…) reste bien meilleur nouvelliste.

Je garde un très bon souvenir de son recueil Dystopia.

		Jim : Parmi les films, j’apprécie aussi Duel, Hypnose (et dans une moindre mesure La maison des damnées), mais guère plus…

The Box, adapté par Richard Kelly, était pas mal aussi..!

		BdN : The Box, adapté par Richard Kelly, était pas mal aussi..!

Je sais qu’il est pas mal apprécié de certains amateurs de genre (dont Olivier ici-même, je crois) mais la sauce n’a pas prise pour moi.

Je pense que cette nouvelle (Appuyez sur le bouton) se prêterait mieux à un format court, du type La quatrième dimension.
Là, je trouve qu’en s’étirant le récit se disperse trop et perd en intensité.

Buczko de Loana Hoarau

4 ème de couverture :
"Ah Eli...C'est toi que je veux. Je sais que je vais te faire du mal. Tu vas sans doute me haïr, me maudire, te détériorer volontairement pour être moins attirante à mes yeux. Peut-être même que tu finiras par accepter mon amour néfaste, mes désirs interdits, mes pulsions destructives. Ton destin est tout tracé, ma belle. Je vais tout mettre en place pour t'entraîner dans mes filets. Je te veux, Eli. Je te veux et je t'aurai." Dans ce roman cruel, l'auteur passe le prédateur au peigne fin, et elle le fait avec une maîtrise perturbante, dérangeante. Son sociopathe profond se déploie pour nous, sans malice ni artifice. À chaque page, on voudrait le quitter, ce roman, mais on n'y arrive tout simplement pas, envoûté par ce monstre dépeint avec une précision déroutante.

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Buczko sous ses apparences de monsieur tout le monde , il travaille en boulangerie , est un prédateur .... Sa prochaine victime est là devant lui , la petite fille blonde lui demande une baguette ..... Buczko est un violeur de petites filles ...

Dans ce roman très dur , glauque , horrible , Loana Hoarau qui pourtant évite les pires détails , nous plonge dans l'esprit d'un pédophile , drogué et alcoolique , qui devient amoureux de sa victime ...
Bien sûr ce roman dérangeant ne pourra pas être lu par tous , âmes sensibles s'abstenir...

Futurs au présent, l'antho de Curval. Dont je n'ai lu que la préface, intéressante.

		Citation : Je me lance dans Odyssées aveugles, recueil de l'auteur britannique Eric Brown. Un titre exhumé de ma pile de livres édités par feu DLM éditions.

Curieux d'avoir ton avis, vu qu'il vient de rejoindre ma PAL

		Citation : Je sais qu’il est pas mal apprécié de certains amateurs de genre (dont Olivier ici-même, je crois) mais la sauce n’a pas prise pour moi. Je pense que cette nouvelle (Appuyez sur le bouton) se prêterait mieux à un format court, du type La quatrième dimension. Là, je trouve qu’en s’étirant le récit se disperse trop et perd en intensité

La nouvelle sert juste d'amorce, le film basculant ensuite dans une sf assez angoissante, entre X files et L'invasion des profanateurs. On peut aimer (c'est effectivement mon cas) ou non, mais comme le dit bien Jim, s'en tenir à la nouvelle stricto sensu ne permettrait pas d'avoir un long-métrage.

J'ai terminé La main gauche de la nuit que j'ai beaucoup aimé, trouvant le style très élégant.
En parallèle, je suis d'accord avec Olivier. Relire ce livre devrait m' apporter beaucoup moins de plaisir ne serait-ce qu'à cause de la fin.

Futurs au présent, l'antho de Curval.
Soyons francs : heureusement qu'il y a Brussolo, car la plupart des autres textes sont franchement insipides, et ont assez mal vieilli.
Le texte de Brussolo est lui magnifique, et a largement mérité son prix. On y trouve le meilleur du bonhomme : ces mondes cauchemardesques auxquels tout le monde se résigne, un humour discret et très, très noir. Une inventivité géniale et glaçante.

En fuite de Massimo Carlotto.
Découverte de l'auteur, qui narre ici sa longue cavale, poursuivi pour un crime avec lequel il n'avait rien à voir.
Je ne le connaissais qu'à travers l'excellente adaptation au cinoche de son roman Arrivederci amore, ciao.
A mi-chemin entre témoignage, littérature et guide de survie, c'est une lecture fortement plaisante.

		Jim : Je pense que cette nouvelle (Appuyez sur le bouton) se prêterait mieux à un format court, du type La quatrième dimension.

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