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Sujet proposé le 16/01/2007 à 08h53 par Bull |
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05/10/2004
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RE : Que regardez-vous ce mois-ci ? Janvier 2007
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17/01/2007 à 23h02
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J'ai un peu peur que ça ait mal vieilli |
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NOOOOOOooooooonnnn
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RE : Que regardez-vous ce mois-ci ? Janvier 2007
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17/01/2007 à 23h22
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sur Rollerball. Après visionnage, que du positif. Le crescendo de la violence, qui marque les matchs de rollerball (3 matchs successifs rythment la progression du film), est l'exact contrepoint de la violence que la société corporatiste fait subir à l'individu. Violence qui nous est dévoilée progressivement. Le film traite habilement de liberté et de libre arbitre. Un film en forme de démonstration.
sur l'image, je ne la trouve pas "datée", au contraire, elle est sobre et très astucieuse, avec cette séparation : match = espace fermé et couleurs sombres, et hors matchs = espaces et couleurs lumineuses. Restent bien évidemment les représentations des ordinateurs, elles très datées. Mais quelle idée que cet ordinateur, sensé être le réceptacle de toute la connaissance humaine et nommé zéro.
Le rythme du film, qui n'a rien des montages de video-clips qu'on peut voir aujourd'hui, peut gêner, mais pas quelqu'une qui apprécie cukor, donen, mankiewicz et consorts.
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27/04/2004
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RE : Que regardez-vous ce mois-ci ? Janvier 2007
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17/01/2007 à 23h23
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non +1 !!!
sauf Heston, qui, dans la réalité, a très mal vieilli...
Wop !!! grillé, j'édite :
Ah, VDA, j'aurais été étonné que cela te déplaise... ! Hein qu'il est bon... !? ;)
Bon, daté les ordi, et les pattes d'éléphant, c'est vrai, tleilaxu a raison quand même ;))
Mais, dito, je le trouve d'actualité sous bien des aspects.( En fait, je suis un fervent militant de ce film, de nombreuses personnes l'ayant vu il y a longtemps n'en ayant retenu que l'aspect "sport violent", alors qu'il va bien au-delà, et ça m'énerve ;) )
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 C'est pas vrai, je ne suis pas misanthrope. La preuve, j'ai des amis humains.
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dernière édition : 17/01/2007 à 23h34
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17/08/2005
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RE : Que regardez-vous ce mois-ci ? Janvier 2007
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20/01/2007 à 17h32
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Retour sur quatre métrages de Sir Alfred :
La cinquième colonne
Un film d'espionnage mâtiné de road-movie qui préfigure La mort aux trousses.
Un faux coupable est poursuivi à travers les Etats-Unis (pour actes de sabotage; un titre alternatif est Saboteur), s'adjoint une blonde alliée, contrainte puis consentante, et règle son compte au méchant de service au sommet d'un grand monument américain (ici, la Statue de la Liberté remplace le mont Rushmore).
Des situations et des décors variés pour un film inégal d'où ressort une halte parmi les freaks d'un cirque ambulant, ode à la différence certes convenue mais toujours appréciable.
Mais qui a tué Harry ?
Ou comment se débarrasser d'un cadavre encombrant qu'on a de cesse de déterrer ?
Une comédie à l'humour so british sur de petites gens qui prennent l'absurde comme allant de soi et se font une montagne de tous petits riens.
Doublé d'un gros travail plastique, où chaque plan d'extérieur magnifie les couleurs naturelles de l'automne pour mieux les opposer à l'incongruité de celles, criardes, apportées par les hommes (tableaux, bibelots, chausettes du mort...)
L'homme qui en savait trop
(Remake du film anglais avec Peter Lorre)
Exotisme de pacotille et colorisation malvenue pôur cette histoire d'un couple d'Américains en vacances au Maroc qui en apprennent trop pour la sécurité de leur fils.
James Stewart passe son temps à crier, Doris Day à chanter; et moi de passablement m'ennuyer.
Reste le comique involontaire né de la vision d'un Daniel Gélin au visage tartiné de cirage.
Enfin, last but not least, L'ombre d'un doute, une des oeuvres préférées du réalisateur.
Adapté d'un roman de Thornton Wilder, le fim narre le retour dans une famille de Santa Rosa, paisible ville de californie, d'un oncle charmeur (Joseph Cotten) qui fait l'adoration de sa nièce (Theresa Wright, en équilibre entre adolescence et âge adulte).
Bien entendu, la belle figure de l'idole cache de noirs secrets.
Esquivant le spectaculaire au profit d'un suspense dense, continu, ce métrage explore adroitement les interstices entre des thêmes chers à Hitchcock : culpabilité/soupçon, ambivalence/ambiguité...
Des personnages souvent attachants( que ce soit les protagonistes principaux, tangibles et fragiles, ou secondaires, volontiers cocasses : la petite fille qui lit trop pour la tranquilité de son entourage, les voisins polardophiles qui discutent du moyen le plus fiables de s'éliminer l'un l'autre...) ajoutent au plaisir de ce grand crû.
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 "Je déteste les discussions, elles vous font parfois changer d'avis."
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dernière édition : 20/01/2007 à 17h34
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