Que lisez vous ce mois ci ? Mai

> Olivier : tu dois confondre, je n'ai pas de barbe :-)

Si tu es sérieux, je suis passé à la Librairie Scylla hier en toute fin d'AM et j'étais avec ma femme et mes deux fils. Tu y étais aussi ?

		Citation : Mais pour répondre sommairement, les super-méga-hyper-blasto-energico-rayons destructeurs de planètes et de soleil, ben j'ai lu ça dans PR quand j'avais 15ans.

et tu aurais aussi pu lire cela 15 ans avant ta naissance dans E E Smith ou Jack Williamson.

Il ne faut quand même pas oublier que dans NSO il reste quand même SO donc du grand spectacle et de l'aventure.

On peut quand même voir une certaine progression 'technique' des Fulgurs aux Inhibitors en passant par les Arkonides.



(Rayon fantastique, 1954, couverture anonyme).

PS : j'aimais bien le Goldorak

Merci Sandrine.
EE Doc Smith. Les Fulgurs.
Ca fait chaud au coeur de se les rappeler.
J'avais adoré à 15ans: Le Surfulgur et Les Maitres du Vortex. Jamais réussi à trouver les autres. Si quelqu'un a une piste...

Pour revenir à Reynolds, c'est en fait surtout le découpage qui est pénible. Chaque scène est découpée en 3 ou 4 morceaux, et on les mélange. Ca nous fait une action - un combat par exemple - étalé sur 40 ou 50 pages.
Lent, lourd, et inutile.
Apparemment c'est une mode. Dan Brown fait pareil, et c'est surement pas le seul.
On sent bien à quel point c'est artificiel, et pas au service du déroulement de l'histoire. En réalité c'est un découpage copié sur celui d'un film - c'est exactement comme ça que sont montés les Starwars par exemple, mais c'est très lourd dans un roman.
OK c'est un premier roman.
Je chipote, mais franchement : un ascenseur qui sent le désinfectant . Déjà en 2006 les désinfectants ne sentent plus rien, alors en 2500 !
Un autre exemple de lourdeur de style?
"Elle compta les étoiles.
Il y en avait quatre cent soixante-dix milliard trois cent onze millions neuf cent vingt-deux mille huit cent onze."
A 1/10 de secondes pour chaque étoile, il lui faudrait plus de 1480 ans pour "compter" les étoiles. Moi, c'que j'en dis.
OK on va dire que c'est une connaissance implantée.
2 pages plus loin:
"Le million-environ-de civilisations (elle aurait pu les dénombrer avec une précision infinie, mais cela lui parut soudain d'un pédantisme puéril"
Pédantisme. C'est pas moi qui le dis. Et c'est quoi au juste une précision infinie pour compter des nombres entiers?
Bon j'arrête. Je suis lourd. Je vais quand meme finir le livre.

PS: tu n'aimes pas Cerebus? Il est bien pourtant Cerebus?

>Gutboy : j'étais plus ou moins passé par le même état d'esprit quand je l'ai lu. Je pense doc qu'il faut avoir lu tout le roman pour que sa "véritable force" s'en dégage : =======> RDV dans 400 pages :-)


>Sandrine, si mes souvenirs sont bons, tu avais également aimé la fin du cycle des inhibiteurs. Spoiler : tu n'as pas été déçu que la solution au problème posé par les inhibiteurs, solution qui nous tient quand même en haleine tout au long du cycle, soit : pas de solution ?

P.S : Moi si je devais voter ce serait également pour Goldorak :-)

Sandrine , Bull : voilà ce que je vais faire: quand j'aurai fini L'Espace de la Révélation, si je trouve que c'est un grand roman, je remets Goldorak. Sinon je garde Cerebus. OK?

We have a deal

		Citation : >Sandrine, si mes souvenirs sont bons, tu avais également aimé la fin du cycle des inhibiteurs

non, il me semble avoir couché par écrit mon déplaisir devant la fin du cycle spoiler : terminé en trois pages du style : et les inhibiteurs furent vaincus par les humains parce qu'il fallait bien que quelqu'un les batte, mais je me suis peut-être mal exprimée (ou c'est mon célèbre coté fan-girl de Reynolds qui ressort).

La logique même des inhibiteurs qui est dévoilée dans l'avant-dernier livre si mes souvenirs sont bons, m'avait aussi un peu déçue.

		Citation : J'avais adoré à 15ans: Le Surfulgur et Les Maitres du Vortex. Jamais réussi à trouver les autres. Si quelqu'un a une piste...

il y en a quelques uns sur Priceminister et presque tous sur e-bay. Je suis quand même étonnée des prix fixes demandés (sur priceminister), surtout que certains semblent avoir été discrètement réédités par Albin Michel.



(Albin-Michel, 1978, couverture de Tony Roberts)

Merci pour la couverture, c'est celui-là que j'avais.
Si tu as d'autre couvertures, n'hésite pas, c'est plein de bons souvenirs.

		Citation : Si tu as d'autre couvertures, n'hésite pas, c'est plein de bons souvenirs.

tu sais me prendre par les sentiments ;-)



(Albin Michel, 1976, couverture anonyme)



(Albin Michel, 1978, couverture anonyme Foss ?, il s'agit probablement d'une réédition)



(Albin Michel, 1978, couverture anonyme)

Les trois autres sont des Albin-Michel à petits points comme celui ci-dessous où les seules variations concernent la couleur des mots Albin-Michel et Science-Fiction.



(Albin Michel, 1973)