Lecture de Décembre c est au chaud dans la chambre...

BouquetdeNerfs : oui.

En train de lire Nation de Pratchett.
Je m'accroche, mais c'est dur.

Lu d'une traite Crépuscules de Thierry Di Rollo. J'avais prévu de lire une nouvelle par soir et puis non. Six nouvelles un peu inégales mais rien de mauvais. Un amuse-gueule avant son prochain roman Bankgreen à paraître en février.

Commencé Gridlinked de Neal Asher. De la bonne SF/Action distrayante. Très aisée à lire en anglais.

		Olivier : Je lis les premières nouvelles de Matheson : Derrière l'écran. Et très franchement, si l'on trouve déjà quelques coups d'éclat, il y a quand même, il faut bien le dire, pas mal de merdes. Donc je m'ennuie, car on ne sait jamais sur quoi on peut tomber, et c'est rarement fameux.

Même si je serais moins sévère que toi (certaines nouvelles moyennes ont un côté désuet qui ne me déplaît pas), je te rejoins assez sur la tendance générale : une pincée de textes coups de poings (Né de l'homme et de la femme; la nouvelle titre, etc) parmi un ensemble bien médiocre.

Les deux volumes Flammarion suivant ne m'ont pas beaucoup plus convaincu.
C'est avec le quatrième volume que Matheson m'a pris au piège (pour ne pas me relâcher depuis); à partir de Jours disparus (1957), il enchaîne une série de textes qui m'ont frappé fort...
Quant au cinquième volume, si je l'ai trouvé moins percutant, j'ai été saisi par la remarquable maîtrise dont fait montre l'auteur.

(L'appendice Miroir, miroir... , je ne m'en souviens pas.)

		Lisbei : Cygnis (...) Et les femmes toujours objets qq siècles + tard, ça m'a gavée, aussi...

As-tu lu le dernier article de Joëlle Wintrebert : "Le sexe de ta plume" ?

(Ne traite pas de Cygnis mais plus généralement des femmes en SF (auteurs et personnages).)

Je ne l'avais pas lu (mais maintenant, oui !), et je te remercie pour ce lien. Je suis quand même un peu étonnée qu'elle ne cite ni Margaret Atwood (pour La servante écarlate) ni Mary Gentle, ni d'ailleurs Connie Willis pour la SF anglo-saxonne actuelle.

A part cette critique de détail, je suis bien d'accord sur le fond de son analyse. Mais j'ai quand même un peu l'impression qu'elle se fait un croche-pied, nan ? Ou veut-elle vraiment dire que l'écriture de SF a un sexe, contrairement au mainstream ? Ou pour le moins que l'écriture féminine demande un terreau particulier pour s'épanouir. C'est sûr que je n'ai pas en tête de nom d'auteure femme en Hard Science, mais cela ne veut pas forcément dire qu'il n'y en a pas...

		Lisbeï : En w-e chez des potes gros lecteurs, j'ai dévoré avec délectation L'épouse de bois, de Terri Windling, pu enfin lire le tome 2 de La quête d'Espérance, de Johan Heliot, ce qui m'a permis de lire le tome 3 une fois rentrée chez moi (c'est de la bonne littérature jeunesse, pour ceux qui ne connaîtraient pas), et j'ai commencé Cygnis, de Vincent Gessler.

O_O

Dis-moi, tu trouves le temps de manger ?

Salut Lisbeï ! ;)

		Lisbei : (...)je n'ai pas en tête de nom d'auteure femme en Hard Science, mais cela ne veut pas forcément dire qu'il n'y en a pas...

Il ne m'en est pas non plus venu à l'esprit;
mais la hard SF n'est pas le (sous-)genre que je vise le plus souvent et je lis très peu de fiction en anglais...


PS : En voilà un, de nom, issu d'une recherche superficielle : Chris Moriarty (qui qualifie sa série Spin de hard SF)

mouaif ....
Je l aurais pas casée la dedans....

Moi non +. Elle n'écrit pas plutôt du space-op', d'habitude ? Cela dit, il est vrai que je l'avais oubliée, celle-ci ;-) !

@zomver : MDR ! Et salut aussi :-).