L'originalité en question

		Citation : juste pour être cruelle : http://www.sectorgeneral.com/books.html (site plus maintenu depuis 2004) Il ne m'en manque qu'un sur cette page.

Gniârk gniârk, je les ai déjà tous!!!

		Citation : En terme d'originalité perdurant pour le moment, j'ai un gros faible pour le bureau des atrocités de Stross.

Absolument, complètement d'accord avec Franz sur Le bureau des atrocités.

Et que pensez-vous de Lisa Tuttle avec Futurs perdus, elle développe dans un monde contemporain la bifurcation d'une vie en évoquant les évènements différents qui en ont découlé.

		Citation : Gniârk gniârk, je les ai déjà tous!!!

garde alors pécieusement Underkill, c'est le seul James White qui me manque et c'est une véritable rareté parce que, indépendament (ou à cause de) d'être une réflexion sur les évènements d'Irlande, il n'existe que sous forme de poche et n'a, dans mon souvenir, été imprimé qu'une seule fois.

On en trouve, mais à des prix que je me refuse à mettre (minimum 30 à 50 Euros).

En guise d'originalité je propose les "thursday Next" de Jasper Fforde

Sandrine, quand je disais "tous", je voulais parler du Secteur General, je n'ai jamais touché à James White en dehors de l'hopital des étoiles. J'ai un pote bouquiniste du coté de Birmingham, je vais lui demander si il n'a pas underkill en stock :)

Toutes les dystopies aussi sont originales mais j'ai pas de titre précis en tête. Si on y réfléchi, chaque roman a son originalité. C'est vachement subjectif ce topic...

Je dirais qu'un auteur très atypique est Lafferty, qui a vraiment un univers extrêmement personnel, et quasi impossible à imiter.

Arf! Faut reconnaitre que RA Lafferty c'est en effet très original... et très illisible! :)

Pourquoi est il illisible Franz?

Essaye de lire tous à Estrevin! et tu verras ce que je veux dire... Ou si jamais tu y arrives, alors tu rentreras dans le cercle très fermé des praticiens-laffertistes, une espèce encore plus rare que les consultants en attanasiologie ;-).

Globalement, Lafferty, ça part en live de la première à la dernière page, impossible de se raccrocher à une structuration quelconque, page après page on est dans un univers à la dérive qui semble le fruit du délire d'un cow boy sous mescaline. Je ne dirais pas que je trouve ça mauvais, c'est au dela de ma perception tellement c'est "spaced out".