Juin au ciné du coin

aussi

Revu SinCity. C'est toujours du grand art à mes yeux. Pour les fans de la BD uniquement, il me semble.
Evidemment ce n'est pas une adptation mais une transposition comme une majeure partie de Watchmen, ou 300 d'ailleurs, mais ça reste du grand art. Le doublage français est assez mauvais tout de même.

Aguirre, ou la colère de Dieu est effectivement très réussi : Kinski y est particulièrement formidable

Sinon, vu hier Ponyo sur la Falaise : un bon film mais un Miyazaki assez moyen ; si vous avez gardé une âme d'enfant, ne le ratez sous aucun prétexte

		Citation : Revu SinCity. C'est toujours du grand art à mes yeux. Pour les fans de la BD uniquement, il me semble.

Nanan, pas besoin d'aimer cette BD (que je n'ai toujours pas lu) pour apprécier le film.

Revu avec ma filleule Le gendarme et les extra terrestres. Ouep. Ben avec le recul, ça décape ta race grave de la mort qui tue, pas moins. Une approche monodimensionnelle en apparence primaire d'une problématique classique de la SF (le contact), mais un développement très nuancé de la thématique de la différence et de la communication. Bref une perspective ontologique quasi hegelienne de la place de l'homme dans l'univers qui suis-je, où vais-je et dans quel état-j'erre, toussa quoi

Sans connaître la BD, j'ai adoré SIN CITY et Rourke principalement. Par contre le scénario de 300 est quand même faiblard malgré des scènes de batailles incroyables et des mouvements de caméra sublimes.

		Franz a dit : Revu avec ma filleule Le gendarme et les extra terrestres. Ouep. Ben avec le recul, ça décape ta race grave de la mort qui tue, pas moins. Une approche monodimensionnelle en apparence primaire d'une problématique classique de la SF (le contact), mais un développement très nuancé de la thématique de la différence et de la communication. Bref une perspective ontologique quasi hegelienne de la place de l'homme dans l'univers qui suis-je, où vais-je et dans quel état-j'erre, toussa quoi

Punaise tu me retires les mots de la bouche Ô_ô

On pourrait d'ailleurs parler de déconstruction du thème du contact, ce qui révolutionne du même coup la double approche, ontologique et métaphysique, de la question du contact.

oui, c'est pas faux mais j'ai bien peur que ce soit limiter la vision de ce film et que l'on perde la vision métaphysique aristotélicienne qui, excusez du peu, est un sujet qui tient à coeur, pour ne pas dire une obsession, au cinéaste Jean Girault.

Veuillez ne pas multiplier les interprétations pour un film qui, à la base, à un fil directeur pourtant clair et évident...



Bon, d'accord, c'est la dernière fois ^^ !!!!

Enfin, j'espère

Eternal sunshine of the spotless mind.
Toujours convaincant après plusieurs visionnage.
La seule comédie sentimentale que j'arrive non seulement a regarder, mais à re-regarder.