En 2025, que les bons films défilent sur tes écrans plus vite que les ministres dans notre gouvernement

		Citation : hmm ca me semble plutot dur comme avis . C'est pas ma came , mais les 2 films francais que j'ai vu recemment (gueles noires et Vermines ) tenaient bien la route !

Ça reste de bons divertissements, mais pas beaucoup plus.

Twisted nerves, un véritable chef-d’œuvre du thriller.
Un jeune homme, couvé par une mère poule et détesté par son beau-père, flashe sur une jeune fille.
Il se fait passer pour un jeune attardé, et aller vivre dans la pension de famille tenue par sa mère.
Il va alors révéler sa véritable nature, celle d’un dangereux psychopathe schizophrène , virtuose de la manipulation.

Un film trop peu connu, mais au suspense magistral, servi par le même scénariste que Le voyeur, qui à ciselé ses personnages, et la musique de Bernard Herrmann, et un casting remarquable.
Le tout avec une esthétique très giallo, qui influencera Argento. Que demander de plus ?

La belle équipe - (1936) De Julien Duvivier
Avec Jean Gabin, Charles Vanel, Raymond Aimos , Viviane Romance ...
Vu et revu , mais quel film !

Ad Vitam
De Rodolphe Lauga (2025)
Avec Guillaume Canet, Stéphane Caillard, Nassim Lyes
Synopsis :
Après avoir échappé à une tentative de meurtre, Franck Lazarev doit retrouver sa femme Leo kidnappée par un mystérieux groupe d'hommes armés. Il est rattrapé par son passé et plongé dans une affaire d'Etat qui le dépasse.
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Juste un film d'action , ça court , ça vole , ça saute, ça tire , crédibilité niveau zéro et des longueurs comme la fête du GIGN qui traine ..
Bon ça passe assez vite , un grand délire virevoltant ,à la limite du stupide ..

		Olivier : Twisted nerves, un véritable chef-d’œuvre du thriller.

Content que ç'a t'ait plu. Vraiment une belle (re)découverte.


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Les liens du sang de Claude Chabrol,
d'après un roman d'Ed McBain.

Un Chabrol mineur mais plaisant.
La coproduction internationale (franco-canadienne) permet de voir Stéphane Audran partager l'affiche avec Donald Sutherland, David Hemmings et Donald Pleasence.

Le whodunit se devine tôt, au détour d'une phrase, et le film prend son temps ensuite ; mais ce n'est pas un problème tant ce qui compte est, comme souvent avec ce réalisateur, l'étude des caractères et des milieux.


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La petite fille au bout du chemin de Nicolas Gessner,
d'après un roman de Laird Koenig.

En 1976, au Festival de Cannes, Jodie Foster, alors seulement âgée de 13 ans, était en compétition officelle pour deux films : Bugsy Malone et Taxi Driver, lequel lui vaudra une reconnaissance internationale. Elle y apparaissait également hors compétition : dans le film de Gessner, dont elle tenait le premier rôle (là encore, un personnage à peine sorti de l'enfance qu'il fait déjà l'objet des vues, sexuelles et criminelles, des adultes).

Ce dernier film m'a également plu : je trouvai le récit, en mélange de tons (thriller psychologique, drame, comédie noire), assez habile, et le jeu des comédiens (dont Martin Sheen), convaincant.

La dixième victime d'Elio Petri,
d'après la nouvelle La septième victime de Robert Sheckley.

Impressions mitigées.

Je salue l'originalité de la chose, d'avoir voulu opérer une relecture du récit à la manière Chic & Pop, pour mieux appuyer la satire de la société du spectacle.
Mais si certaines piques touchent, et que Marcello Mastroianni porte toujours l'ironie comme personne, l'ensemble m'apparait au final trop superficiel (comme son intrigue matrimoniale, guère intéressante).

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Inside (La cara oculta) de Andrés Baiz.

Une mise en scène banale n'empêche pas ce thriller de fonctionner grâce à un scénario habile dont l'atout principal est le refus du manichéisme : à des degrés divers, les trois personnages principaux y sont tous victimes et bourreaux.

		Citation : La dixième victime d'Elio Petri, d'après la nouvelle La septième victime de Robert Sheckley. Impressions mitigées. Je salue l'originalité de la chose, d'avoir voulu opérer une relecture du récit à la manière Chic & Pop, pour mieux appuyer la satire de la société du spectacle. Mais si certaines piques touchent, et que Marcello Mastroianni porte toujours l'ironie comme personne, l'ensemble m'apparait au final trop superficiel (comme son intrigue matrimoniale, guère intéressante).

C'est clairement le film le plus faible de l'auteur, qui n'est jamais aussi bon qu'avec son complice Gian Maria Volonté, notamment dans son chef-d’œuvre Enquête sur un citoyen au-dessus de tout soupçon ou encore La classe ouvrière va au paradis, qui lui a valu une Palme d'or, et qui s'inscrive dans le contexte de l'Automne chaud et des Années de plomb.

Le rouge est mis ....Gilles Grangier 1957 - Gabin , Ventura , Bozzuffi , Girardeau , Frankeur .
J'adore ce film .... :)

L'Abominable homme des douanes
De Marc Allégret (1963
Par Claude Choublier, Pierre Prévert
Avec Darry Cowl, Francis Blanche, Pierre Brasseur
Synopsis :
Deux bandes rivales se disputent le trafic de drogue. Un tueur américain nommé Timetti Le Muet débarque à l'aéroport de Marseille afin d'effectuer une livraison à la bande d'Arnakos. Il est dénoncé à la police, et c'est le paisible douanier Camposantos qui est chargé de son arrestation. À la suite d'une confusion, ce dernier est pris pour le tueur lui-même. Embarqué par les hommes d'Arnakos, l'innocent douanier se voit contraint de jouer un rôle plutôt inattendu.

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Suite à un quiproquo , un douanier est pris pour un tueur américain muet et va jouer le jeu ...

Bof , les gags nuls , histoire tirée par les cheveux , on peu éviter ...

Légion
Réalisé par Philippe Joulia.(1972)
Scénario de Bernard Clavel
Avec Pierre Trabaud, Béatrice Audry, René Lefèvre, Maurice Bourbon.

Synopsis :
Démobilisé, un légionnaire un peu fruste s'arrête dans un petit village isolé où il se lie d'amitié avec la postière, une vieille fille revêche.
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Un légionnaire démobilisé arrive dans un petit village Jurassien et après un accueil un peu froid , se lie rapidement d'amitié avec les gens du village en donnant un coup de main à la tâche ..
Une affection réciproque va se céer avec la postière , vieille fille un peu bourrue , mais au grand coeur ..
Mais Lafond , le légionnaire a besoin de liberté ...

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Une belle découverte que ce téléfilm simple , touchant , avec de bons comédiens . Surement un peu vieillot pour certain , mais tellement dans la sincérité et la simplicité .
Sur Youtube .