En 2024, oublie les JO de Paris et de faire baisser ta PAL fais le pari

Je nommerai pas les fautifs , mais quelques Silverberg , en Kindle .. :/ ... :)

Fini le Gibson, moins renversant que le précédent (une telle claque, ce n'est pas souvent dans une vie de lecteur !),mais d'un excellent niveau néanmoins.

Petite incursion sur les terres d'enfance de Gibson avec les nouvelles de Kentucky straight de Chris Offutt

Dernières lectures ::
Ce lien entre nous - David Joy
La théorie des six - Jacques Expert
Sombre est l'espace - Jacques Hoven
Le nègre du flic - Jérémy Bouquin
Les hommes de proie - Mike Cooper .

Bon le Tidhar se revele une profonde déception , ou "qui trop embrasse mal étreint". Autant un bouquin de 300 pages max aurait été une vraie réussite autant les 500 pages finales intègrent un enorme ventre mou de plus de 200 pqges qui tourne q la parodie , au pastiche de Tarantino et de Scorcese , sans intéret pour l'intrigue et les personnages , pour finalement ne se recupérer que sur les 50 dernieres pages ...dommage!

La je suis dans Battle of the Linguist Mages de Scotto Moore et c'est tout a la fois déjanté mais completement aligné avec l'air du temps, j'ai du mal a accrocher....

Un peu de poésie avec Face à la mort de Hervé Prudon.

120 ans de Prix Goncourt : une histoire littéraire française de Jean-Yves Le Naour et Catherine Valenti.
Une analyse soigneusement contextualisée de chaque Prix, non sans une certaine truculence.
Les auteurs sont historiens et leur livre est une plongée passionnante dans l’Histoire et la littérature.
Avec le recul (j’en suis à Barbusse), on se rend compte que le Prix est surtout celui des loupés.
Même si le tout premier à couronné… un roman de sf.

Un diable sur mesure - Jean-Pierre Ferrière . Spécial - Police .

Avant d'émettre un jugement sur Central Station de Lavie Tidhar, qu'appelez vous sur CSF un faiseur (mot appliqué par RCW et d'autres parmi vous à propos de Simmons) ?

Je n'utilise pas le mot, mais l'ai vu passer sur CSF et quelque part en partage la signification.
C'est un reproche fait à l'auteur qui utilise la documentation rassemblée autour d'un thème (Dickens et Collins pour "Drood"; le mont Rushmore pour "Collines Noires", toute la SF antérieure pour "Hypérion", l'alpinisme pour "Abominable" ...) pour "faire" et laisser courir sur sa lancée un travail de "complétude" qui tire à la ligne et ne doit que peu à son Imaginaire. L'impression est à son summum sur "Abominable" qui se résume à un catalogue des moyens et techniques d'alpinisme appliqués à une époque et à l'Everest.

Son job, quelque part, n'est qu'illusion sur le fil d'une prose habile. Cà peut plaire (le Simmons F m'enchante) mais çà horripile (c'est le cas d'Hyperion) quand le bonhomme apparait comme un génie aux yeux des nouvelles générations. Il "fait" beaucoup et n'imagine que peu..

En fait, Dan Simmons est un documentaliste.