En 2024, oublie les JO de Paris et de faire baisser ta PAL fais le pari

Le moineau de Dieu de Mary Doria Russell m'a déçu. Pas sur le plan littéraire, même si la fin est un peu précipitée. C'est le rapport à la foi, le fait que des Jésuites confondent faute et pêché m'ont plus gêné.
Mais avec un regard athée, c'est un très bon bouquin.

Une si belle planète de B.R.Bruss - une toujours chouette re - lecture .

Batlle of the linguist mages : grosse purge , je fais une pause avec de la blanche avant de reprendre et finir , probablement en diagonale

Les Déserteurs temporels R.S ayé c'est "chroniqué"

Fini l’antho, très curieuse.
Du splatterpunk y voisine avec des variations sur Jack l’éventreur.
Seuls trois textes valent vraiment le coup, au tout début, dont 2 que je connaissais déjà et que j’ai relu avec un immense plaisir (Matheson fils et un Lansdale poisseux et terrifiant, qui utilise ici brièvement le snuff movie qu’il reprendra dans 2 polars).
Pour le reste, je suis toujours aussi hermétique à Lewis Shiner et David J. Schow. Et au steampunk avec Jack l’êventreur.

Je plonge dans la réalité et le réalisme le temps d’un livre avec Bruno Tertrais.

		Olivier : un Lansdale poisseux et terrifiant, qui utilise ici brièvement le snuff movie qu’il reprendra dans 2 polars)

Lu hier soir cette nouvelle recompensée par le prix Bram Stoker en 1988: c'est du brutal...

		Olivier : Pour le reste, je suis toujours aussi hermétique à Lewis Shiner et David J. Schow. Et au steampunk avec Jack l’êventreur.

Jamais lu Shiner (auquel Lansdale dédie sa nouvelle).
Concernant Schow, c'est du quitte ou double pour moi : soit je reste au bord de la route, soit ça m'embarque complètement.
Les variations sur Jack l'Eventreur, j'aimerais beaucoup les aimer – la légende noire du personnage promet des histoires fortes – mais je suis très souvent déçu (y compris par le classique de Bloch, Votre dévoué, Jack l'Éventreur, au sommaire de l'anthologie suivante de Bourgoin).

		Citation : Lu hier soir cette nouvelle recompensée par le prix Bram Stoker en 1988: c'est du brutal...

Une nouvelle qui figure dans mon panthéon, tant je la trouve fabuleuse.
J'aime son ambiguïté morale (notamment son ambivalence par rapport au racisme), et ses retournements totalement inattendus (l'arrivée chez les tarés qui regardent leur film, la découverte de la tête du chien et le malentendu qui s'en suit), ses zones d'ombres (on ne sait rien des types qui regardent le film et j'aime cette façon de tailler les textes à la serpe pour se concentrer uniquement sur l'essentiel) et la manière de décrire la fin.

Tout y est parfait.
Du très grand art.
Avis aux amateurs de frissons et de brutal !

J'ai réveillé le tigre - Sarah Marquis .Une belle aventure en Tasmanie .

Nous ne sommes qu'ombre et poussière - Lyndsay Faye - un plutôt bon pastiche de Sherlock Holmes .

Enquête interdite de Carlo Lucarelli, le co-scénariste du dernier Argento.
L'Italie de Mussolini ploie sous la canicule estivale, et le corps quasi nu d'une femme morte, aux mœurs sulfureuses, est retrouvé sur une plage. A deux pas du lieu où le duce passe ses vacances.
L'enquête est vite bouclée, puisqu'un anarchiste fera office de coupable, avec en prime, un billet de félicitations du duce.
Sauf qu'un flic divorcé et dépressif n'est pas convaincu, et décide, contre sa hiérarchie, de reprendre l'enquête.

[url]=https://charybde2.wordpress.com/wp-content/uploads/2015/08/indagine.jpg?w=284&h=419Les couvertures italiennes pour la giallo, [/url]c'est quelque chose !
Et ça évoque bien mieux le roman, accessoirement.