En 2021, vois un film... et encore un... et encore un...

Le documentaire La bataille de Tchernobyl était déjà une puissante entrée en matière.
En plus des interviews de Gorbachev, et de tout une série de survivants, on y explique le rôle providenciel d' Hans Blix, et on y voit le film tourné d'un hélico en survol du réacteur éventré.

Sinon American Gods sur Prime est un progressif et inexorable gachis.

Pour ceux qui se rappellent du fort sympathique "L'homme au complet blanc" avec Alec Guiness :
https://youtu.be/SVia0c6X-Qc?t=198

		Olivier : Grosse déception pour le Romero. A part quelques passages de satire parfois burlesque, et quelques hallucinations, le film tourne à vide et s’achève dans un discours moralisant (…). Une curiosité tout au plus.

Merdum. :(

Bon, ça m’évitera au moins d’être trop déçu si je ne suis pas en capacité de le voir…

		morca : Pour ceux qui se rappellent du fort sympathique "L'homme au complet blanc" avec Alec Guiness : (…)

Hi hi. ^^

Sir Alec portait quand même le blanc avec plus d’élégance…

Oui, il est très sympathique, ce film d’Alexander Mackendrick
(dans un autre genre, son Grand chantage – The sweet smell of success – est très bien aussi)

The Vanished - Par Peter Facinelli (2021)
Avec Thomas Jane, Anne Heche, Jason Patric
Synopsis :
La fille de Wendy et Paul disparait sans laisser de trace lors de vacances camping. La police n’ayant aucune piste, l’enquête patine et le couple décide de prendre les choses en mains. Ils ne reculeront devant rien pour retrouver leur fille…
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Un début assez banal , mais le reste est une suite de fausses pistes parfois un peu tiré par les cheveux , mais on accroche rapidement . L'ensemble est plutôt assez bon .

Quelqu'un a essayé la comedie space force ?
(sinon depuis le confinement j 'avoue que j'ai mangé du Big Bang theory ici et la , completement dans le desordre , et c'est assez savoureux !)

Revu, encore une fois, New York 1997 (Escape from New York) de John Carpenter.
Étonnamment, ce qui m’avait déçu la fois précédente (j’avais trouvé ça mou), m’a plu cette fois-ci : un rythme nonchalant, atypique pour un récit de course contre la montre.

Cependant, le film me servait surtout d’apéritif pour le documentaire Big John de Julien Dunand.
Conversations déambulatoires dans Los Angeles (à pied puis en voiture), témoignages de collaborateurs, extrait de tournage… : c’est très varié et très plaisant.
Un beau panorama de l’œuvre de ce maître de la série B.

Dans le même genre, j'ai vu il y a quelques jours sur Arte un super documentaire de Boris Hars-Tschachotin (Allemagne, 2020, 53mn) qui m'a fait voir autrement le travail faramineux autour de BladeRunner

J'étais tombé dessus par hasard car le documentaire était programmé en deuxième partie de soirée après un téléfilm À l'Abordage de Guillaume Brac, que j'ai adoré, j'ai beaucoup ri de cette comédie sur les vacances dans la Drôme de 3 adolescents

		Citation : Revu, encore une fois, New York 1997 (Escape from New York) de John Carpenter. Étonnamment, ce qui m’avait déçu la fois précédente (j’avais trouvé ça mou), m’a plu cette fois-ci : un rythme nonchalant, atypique pour un récit de course contre la montre.

L'un de mes Carpenter favoris, avec la nonchalance un brin anar de Snake (le coup de la cassette !).
J'aime aussi les petits détails, comme les lustres sur la voiture d'Isaac Hayes (excellent).
Les effets spéciaux ont certes un peu vieilli, mais je n'en peux plus du fond vert.
J'espère qu'Arte va passer la suite, qui vaut aussi son pesant de cacahuètes. .

		Citation : Cependant, le film me servait surtout d’apéritif pour le documentaire Big John de Julien Dunand. Conversations déambulatoires dans Los Angeles (à pied puis en voiture), témoignages de collaborateurs, extrait de tournage… : c’est très varié et très plaisant. Un beau panorama de l’œuvre de ce maître de la série B.

+ 1.
Carpenter, c'est vraiment de la série B solide (pour ses meilleurs films). Je garde un bon souvenir du remake d'un de ses tous premiers films, Assaut sur Central 13. L'original est vraiment fauché comme les blés, et a affreusement mal vieilli.

		Olivier : Je garde un bon souvenir du remake d'un de ses tous premiers films, Assaut sur Central 13. L'original est vraiment fauché comme les blés, et a affreusement mal vieilli.

Le remake (par le frenchy Jean-François Richet) m’attirait par son casting de seconds rôles. Mais les effets de réalistaion du prologue m’ont rebuté. Je m’y réessaierai.

Concernant l’original, je ne suis pas d’accord avec toi.
Si quelques aspects ont vieillis (dans le portrait des personnages, des dialogues – Ah !, la v.f. : « T’as pas un clope ? » ), je trouve la mise en scène toujours aussi admirable.
Et quelques scènes n’ont rien perdu de leur force, à mon avis (le meurtre de la gamine,
je pense que ça ferait encore réagir aujourd’hui…)

		Citation : Concernant l’original, je ne suis pas d’accord avec toi. Si quelques aspects ont vieillis (dans le portrait des personnages, des dialogues – Ah !, la v.f. : « T’as pas un clope ? » ), je trouve la mise en scène toujours aussi admirable. Et quelques scènes n’ont rien perdu de leur force, à mon avis (le meurtre de la gamine, je pense que ça ferait encore réagir aujourd’hui…)

Je trouve juste que les maquettes du début font un peu datées. Mais c’est bien meilleur que son atroce bouse martienne. Une vraie purge.
Et puis la personne qui prend la mitraillette à la fin, c’est too much.