En 2021, vois un film... et encore un... et encore un...

Made for love ; 1 saison - 8 épisodes .

Synopsis :
Après dix ans de mariage, une femme découvre que son mari, un milliardaire instable aux tendances sociopathes, a implanté un logiciel de contrôle révolutionnaire dans son cerveau, lui permettant de contrôler ses moindres faits et gestes alors qu'elle tente de le fuir...

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Au final plutôt bonne série , parfois un peu déjantée , mais les premiers et les derniers épisodes sont bons , le reste est un peu répétitif .

Dossiers brûlants, une série tv qui fleure bon les 70's.

Un journaliste se retrouve confronté à tout le bestiaire du fantastique et de la sf au fil de ses enquêtes : vampire, zombie, Jack l'éventreur, extraterrestre.

Ce n'est clairement pas renversant ni inoubliable, mais ça se regarde avec plaisir, car c'est un divertissement bien troussé.

		Olivier : Dossiers brûlants, une série tv qui fleure bon les 70's.

Ah, c'est le fameux Kolchak : The Night Stalker.
De ce que j'ai lu, cette série populaire a marqué l'enfance de nombreux écrivains d'horreur...

Ca tourne un peu vite en rond : Kolchak contre un vampire, Kolchak contre un extraterrestre, contre Jack l'éventreur...

Et puis franchement, quand on compare au cinéma d'horreur de l'époque, qui connaissait un véritable âge d'or, ce n'est vraiment pas très horrifique. C'est vraiment calibré pour la télé et pour toute la famille.
Je comprends au cela puisse impressionner des jeunes encore verts, mais certainement pas de vieux briscards.

J’ai finalement tenté Tenet de Christopher Nolan.

		tj : (…) pas si portnawak qu'annoncé , même si franchement les enjeux deviennent tres vite confus . Perso me suis laissé porter par le flux. La scène de baston finale m'a rappelé de façon irréelle certains passages de Starship troopers.

Plutôt d’accord avec tout ça.

C’était pourtant mal parti car au début je retrouvais tous les défauts que j’attribue aux films de Nolan, notamment cette façon qu’il a (par une narration/un montage toujours un peu trop cut, une surabondance de plans moyens ou encore une tendance à éluder la violence) d’échouer à délivrer l’intensité promise par les situations.

J’ai commencé à accrocher avec le personnage de la femme du trafiquant russe qui crée un encrage émotionnel qui manquait jusqu’alors, le protagoniste étant une coquille vide.

Puis je me suis, moi aussi, laissé porter par le flux, les actions croisées/inversées donnant aux scènes un cachet particulier, assez surréaliste…

Dans les angles morts - (2021) Avec James Norton, Amanda Seyfried, Ana Sophia Heger .
Un couple de Manhattan s’installe dans un hameau historique de la vallée de l’Hudson. Ils vont bientôt découvrir l'histoire sombre qui a eu lieu dans leur nouvelle maison et qui fait étrangement écho à celle qu'ils sont en train de vivre..
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Voilà un film supposé d'épouvante avec un soupçon d'Amytiville et Poltergeist , mais au point zéro ; les seuls moments de frisson seront une lampe qui éclate ou une bougie qui s'éteint .. les acteurs ne sont pas mauvais mais le scénario est d'une platitude ... C'est surtout un couple à la dérive et une histoire de fantôme invisible ... Bref , on peut faire autre chose ... :)

Fini le Simak, qui est un fort bon texte.

Je passe de Simak à Ballard avec Béton : arme de construction massive du capitalisme d'Anselme Jappe, écrit à la suite de l'écroulement d'un pont en Italie.
Je partage autant les détestations de l’auteur (Le Corbusier, le brutalisme, la bagnole, la climatisation, le futurisme, les grands ensembles) que ses admirations (Vitruve et la Rome antique, les ruines, Ballard ou William Morris, encore trop peu connu chez nous). Le ton est résolument pamphlétaire, mais le livre est d'une lecture très agréable, fruit d'une enquête assez fouillée.

C'est l'histoire d'un mec... Il attend depuis un an de pouvoir retourner au cinéma et il arrive à se planter dans la réservation de sa première séance...! ^^

N'empêche qu'il était bien sympa le programme de remplacement : Adieu les cons d'Albert Dupontel.

Une comédie qui démarre pied au plancher avant de s'apaiser pour devenir plus sentimentale, débouchant sur un romantisme naïf que j'aurai souhaité plus équilibré avec la charge satirique.
Toutefois, il en découle quelques scènes touchantes (celles avec Jackie Berroyer) et la toute fin retrouve du mordant.

Le duo Albert Dupontel/Virginie Efira fonctionne bien (je suis impatient de voir la seconde dans le prochain Verhoeven...) et la réalisation, soignée et dynamique, change agréablement du désert de mise en scène qui caractérise trop de comédies françaises.

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		Olivier : Du nouveau du côté Ballard et Cronenberg (le fiston). [Super-Cannes adapté en série]

Bonne nouvelle. :-)

(idéalement, il faudrait qu'elle soit tournée à Sophia-Antipolis...)

Attention chef-d’œuvre demain sur France 5.
Série noire d’Alain Corneau, avec Dewaere au sommet, Marie Trintignant et Bernard Blier.