En 2014, d'aussi bons films qu'en 1974 !

Absolument... Deux des personnages laissent guider leurs décisions par leurs attachements, l'un à ses enfants restés sur Terre, l'autre à son amant parti en éclaireur sur l'une des trois planètes pressenties pour la colonisation. C'est l'occasion pour l'héroïne de faire ce couplet sur l'amour, qui, en fait n'est pas aussi cucul que ça pourrait paraître... Mais un peu quand même...

		Jim : Ce qui frappe d’emblée à la vision de ce Massacre…, c’est le soin apporté à la mise en scène, visuelle et sonore – mise en scène brillante, souvent originale mais jamais absconse, toujours au service de l’histoire racontée. Sur la trame aujourd’hui classique du slasher, Hooper brode ainsi des scènes d’une rare morbidité et mêle les deux registres cousins de l’horrible et du comique pour atteindre à un beau malaise lors de la scène, fameuse, du repas.

L'une des choses les plus étonnantes, à mes yeux, est le peu de violence physique du film.
Bien peu de morts : bien moins que dans le premier slasher venu.
Pas une once de gore, de tripes ou de boyaux (alors que nous sommes chez une dynastie d'ouvriers d'abattoir !).
Et pourtant, quel film !

Bon , en même temps , les gars , si vous attendez dulourd , duvrai , au niveau scénario , y a la bande annonce d'une nieme Marvel comics sequel appellée la revanche d'Ultron ,qui tourne , un peu de patience !

		BC : Interstellar... Pas terrible, mais alors pas terrible du tout... Un salmigondis

Bref, du Nolan, non ?
J'avais déjà détesté Inception, Le prestige (c'est un des rares romans de Priest que je n'aime pas, donc qu'il ait adapté celui-ci ne me dérange pas) ses Batman (mention spéciale pour celui avec Marion Cotillard)...
J'hésitais à aller voir Interstellar, je crois que je vais éviter de perdre mon temps.

Curieusement l'affiche a sollicité quelque chose de mon sense of wonder, je ne sais pas trop pourquoi... Ces spationautes perdus sur cette planète qu'on soupçonne entièrement aquatique et très très éloignée, une planète-océan très peu profonde dans une autre galaxie... Et effectivement ce n'est pas le pire moment du film... Mais globalement, c'est un film lourdingue et pas malin. Mais que je ne déconseillerais pas forcément formellement...

Je dois également reconnaitre que la bande-annonce a elle aussi titillé mon sense of wonder, mais que ta critique m'a vraiment refroidi.
Bon, je ne me précipiterai pas pour le voir, mais je n'exclue rien.

		Olivier, au sujet de Massacre à la tronçonneuse : L'une des choses les plus étonnantes, à mes yeux, est le peu de violence physique du film. […] Pas une once de gore, de tripes ou de boyaux (alors que nous sommes chez une dynastie d'ouvriers d'abattoir !).

En effet.
Et la mise en scène, la direction artistique, n’en sont que plus remarquables de rendre le film si visceral, si organique...

		BC, au sujet d’Interstellar : Curieusement l'affiche a sollicité quelque chose de mon sense of wonder, je ne sais pas trop pourquoi...

Pour ma part, c’est le simple titre qui m’a appâté.
Du coup, j’ai été déçu par la bande-annonce qui proposait trop peu de scènes intersidérales par rapport à ce que j’en attendais…

Très grosse claque en allant voir Un été à Osage County, une pièce de théâtre mise en scène par Dominique Pitoiset et écrite par Tracy Letts (connue aussi pour Bug et Killer Joe qui ont été adaptés par William Friedkin au cinéma), mon ressenti est très proche de celui de la chouette chronique qu'on peut lire, ici.

J'ai vu Voyage au bout de l'enfer avec De Niro et Christopher Walken, il faut avoir les nerfs bien accrochés, le film est un chef d'oeuvre sur tous les plans et les deux acteurs sont sublimes.

Puis hier, après avoir vu la même semaine ces deux histoires fascinantes en film et au théatre, je suis allé regarder Interstellar de Nolan pour un voyage ds l'espace et ses multi-dimensions, et bien vivement la suite avec sa dixième dimension et son héros caché dans la cuvette des WC entrain de coder en braille la théorie de l'Univers et du Reste.

J'ai vu Interstellar, que j'ai trouvé particulièrement niais (mon papa c'est le meilleur !), parfois ridicule (le mildiou qui menace la survie de l'humanité en lui piquant son oxygène !) et incohérent (l'Etat s'écroule, mais la Nasa est toujours là, avec un vaisseau en parfait état et plein de carburant ! ; il faut se magner sur les planètes qu'on explore mais au final non, parce que l'humanité a crée des anneaux spatiaux aux alentours de Saturne (sans doute parce que l'on y capte bien l'énergie solaire).

Fondation, la série !

En espérant que ce soit surtout les trois tomes originels, et surtout que les préquelles soient oubliées.