Derniers achats , y'en a pas ?

Les lois du ciel de Grégoire Courtois .

Aléas, recueil de nouvelles de Scott Baker.

La petite princesse maïs et autres cauchemars de Joyce Carol Oates.
N'ayant jamais lu un livre de l'auteur, je me dis qu'il vaut mieux commencer par l'horreur et le fantastique. La seule nouvelle que j'avais lu d'elle était dans le recueil, très inégal, 999. Et c'est sans hésitation que je mettais son texte au sommet du recueil, aux cotés de l'incontournable Disch qui livrait un texte d'une fine perversion.

Os de lune de Jonathan Carroll, là encore pour découvrir l'auteur. Et puis c'est publié Aux forges de Vulcain, qui ont édité auparavant un recueil d'essais de Le Guin. Donc gage de qualité pour moi.

		Olivier : Os de lune de Jonathan Carroll

Bon souvenir.
Un peu déroutant au début, comme la narration alterne entre un réel ordinaire et un univers de fantasy à la Lewis Carroll.
Et je n'ai pas vu venir la fin : elle m'a mis une bonne claque.

		Citation : >soleilvert : c'est quoi, le recueil de Le Guin, au Bélial ?

... un livre d'or augmenté … en quelque sorte

Ah bien, merci, soleilvert ! Je tâcherai sans doute de le lire en bibliothèque ou d'occasion, j'ai déjà (et depuis longtemps !) le Livre d'or :-).

La jambe gauche de Joe Stummer de Caryl Férey et quelques BDs , hier en brocante ...

Robert Bloch : Appreciations of the Master,
sous la direction de Richard Matheson et Ricia Mainhardt.

Un ensemble de textes variés : lettres d’hommage (dont la plupart ont pu être lues à Robert Bloch peu avant sa mort) ; nouvelles choisies avec introductions ; extrait de scénario non tourné ; article sur le cinéma horrifique à l’orée des années 60...

Outre Richard Matheson, nombre de noms connus des littératures de genre ont participé à l’ouvrage : Ramsey Campbell, Stephen King, Peter Straub, Joe Lansdale, Neil Gaiman, Harlan Ellison*, Philip José Farmer, Frederik Pohl* et quelques autres.
(Et aussi Christopher Lee.)



* Pohl rapporte que Bloch débutait le discours de la Worldcon de 1973 par ces mots :
« Nasty, brutish and short. This describes either the life of primitive man… or Harlan Ellison. » ^^

		Citation : (Et aussi Christopher Lee.)

J'avais un peu, beaucoup, tendance à considérer Christopher Lee comme le Bela Lugosi de la Hammer.
Bref, un acteur bon dans ce qu'il faisait, mais limité et surtout sous-exploité.
Et puis j'ai vu Le dieu d'osier.
La claque.
La vraie.
Peu de films continuent à me hanter comme celui-ci, notamment la façon dont Christopher Lee y crève littéralement l'écran. Et puis la fin. Magistrale.
Probablement l'un de mes polars favoris.

L'étreinte de la mort de Cathy Amblot - Zalwert .