2017, faudra-t-il accoucher tes lectures avec le forceps?

Joyland de King, dans un format court sans prétentions ou il fait ce au il fait le mieux , ses coming of age matinés de fantastique .
Tres recommandable !

Plus X d' Eric Frank Russell : cette histoire de prisonnier de guerre interstellaire qui pose une équation de troisième degré pour prendre la tangente n'a pas déchaîné mon enthousiasme outre-mesure..c'est un peu trop burlesque comme humour à mon goût !

Le prix du danger et autres récits de Robert Sheckley : là, par contre, j'adhère totalement à l'humour de l'auteur.

L'équilibre des paradoxes de Michel Pagel : je débute juste sa lecture mais les soixante premières pages m'ont totalement emballé, l'histoire m'intrigue et pour pimenter le tout l'humour est présent (le langage et les idées de Sophie tranchent totalement avec l'attitude des deux "dames" de 1905!)...bref j'espère que le rythme sera maintenu jusqu'à la fin!

		Citation : Le prix du danger et autres récits de Robert Sheckley : là, par contre, j'adhère totalement à l'humour de l'auteur.

Autant j'ai adoré des romans de Sheckley (Oméga qui est un bijou de la sf, Les erreurs de Joenes, et la série sur la Dimension des miracles), autant ses nouvelles m'ont souvent laissé froid, à l'exception de La clé laxiale et sa poussière. Pour Le prix du danger, j'ai très, très, largement préféré de film de Boisset (l'une des plus grandes réussites de la sf française cinématographique) à la nouvelle. Mais il faut dire que j'adore Boisset...

		Citation : L'équilibre des paradoxes de Michel Pagel

A ma grande honte, c'est un auteur que je n'ai jamais eu l'heur de lire, à l'exception de ses traductions.

Les raisins de la mort de Dominique Arly.

		xy et Olivier : Le prix du danger

Pour ma part, je n’ai pas de réserves concernant ce recueil, un de mes préférés, un des rares dont j’aime toutes les nouvelles.
J’aime la façon dont il s’attaque à différents tropes du genre (dystopie, ethno-SF, voyage dans le temps...) avec une simplicité qui touche à l’évidence.

Bizarrement, je n’ai pas accroché aux autres recueils de Sheckley, arrêtés en cours de lecture (à reprendre un jour...)

Le film d’Yves Boisset m’a plu mais je n’en garde qu’un souvenir vague et lointain ;
et je serai curieux de voir en entier l’adaptation de La septième victime par Elio Petri, le peu que j’en ai vu m’avait plu par son ton décalé (Rome y ressemblait au swinging London...)

		Olivier, au sujet de Michel Pagel : c'est un auteur que je n'ai jamais eu l'heur de lire, à l'exception de ses traductions.

Itou.

Ses traductions me sont chères, notamment celles du Monde englouti et de La forêt de cristal, deux de premiers et plus vifs souvenirs de lectures SF.

		Citation : La septième victime par Elio Petri

L'un de mes cinéastes italiens préférés (même si je n'ai pas vu ce film là).

Sous les pavés, (bientôt) la plage : Mars la rouge de KSR

Capitaine Futur - A la rescousse de Edmond Hamilton.
Lecture sans prise de tête, histoire de retrouver l'atmosphère de l'âge d'or (en gros, quand on a 14 ans). Bon, il faut être très très indulgent, même si l'actualité scientifique entre en résonance avec l'imagination de Hamilton.

La rose pour l'ecclésiaste a bien été cueillie. J'ai trouvé que c'est un très bon recueil de nouvelles.
Pour en finir avec Bester, j'attaque Les clown de l'eden.

Tu confirmes la bonne réputation du recueil, Butch ; il faudra que je m'y mette un de ces jours...

Concernant le Bester, c'est sans doute le moins bon de ses publications françaises.
Je le trouvai assez riche dans ses premiers paragraphes mais très vite brouillon et ne menant pas bien loin.