Répartitoire spatiale des couches sociales

Dans la trilogie de A reynolds et notamment La cité du gouffre on retrouve,
dans la description de Chasm city ,
la séparation classique entre basse et haute ville ,pauvres et riches,
enrichie d'une interressante séparation technologique

Il y a aussi la nouvelle d'Ecken: Eclats lumineux du disque d’accrétion où les désœuvrés (gens ne travaillant pas et subsistant grace à l'aide de l'etat) sont confinée dans les citées (devenues des véritables ghetto).

Idem dans Dosadi, de Frank Herbert, où les très pauvres s'entassent dans ces terribles "garennes" où les riches font des "descentes" de chasse pour s'amuser, si ma mémoire est bonne. Ambiance un peu similaire, me semble-t'il dans Plasma de WJ Williams.

Répartition spatiale par sexe dans Misandra de Claude Veillot (J'ai lu)

Tiens, je n'y avais pas pensé, un comble ! Mais on le trouve aussi dans Pollen, de Wintrebert.

ZZ s'était fait un temps l'écho (peut-être dans les chroniques..?) d'un roman "exportant" les personnes agées par voie ferroviare..!

Dans le même ordre d'idée "Soleil Vert" apporte un remède voisin vers un "ailleurs" définitif..!

Mon Dieu, j'ai l'idée noire ces temps, Lacroute bouges ta mie avant qu'elle ne rancisse (rancice..?)

Dans Psion de Joan Vinge, la capital Quarro (de mémoire) a été construite audessu de l'ancienne ville.
Les pauvre vive dans la vieille ville (donc en dessous si vous m'avez bien suivi) et ne vois jamais la lumiere du jour (ni les magnifique jardin suspendu de Quarro)

		Lacroute fouine dans ses vieux neurones : ZZ s'était fait un temps (peut-être dans les chroniques..?) d'un roman "exportant" les personnes agées par voie ferroviare..!

En effet notre chroniqueuse émérite a fait l'une de ces superbes chros dont elle a le secret à propos de Eternity Express, de Truong.

		Lisbei parle d'or : Tiens, je n'y avais pas pensé, un comble ! Mais on le trouve aussi dans Pollen, de Wintrebert.

Mais, oui, bon sang, Wintrebert ! Dans Chromoville, les gens sont obligés en plus de colorer leur peau en fonction de leur rang social : une caste, une couleur.

Un bonheur insoutenable, Ira Levin: tous les espaces sont sectorisés (ça se dit ça? bof, autant que "répartitoire":); on ne peut y accéder qu'en "badgeant" avec son bracelet. Un peu comme si la Terre entière était couverte de pointeuses d'usine. Et, je vous le donne en mille, y'en a qui ont le droit de passer et d'autres pas!! Me souviens plus trop des subtilités de la hiérarchie sociale, m'enfin c'est assez scandaleux, je trouve!:)
Sinon l'histoire du mur séparant deux peuples fanatiques et passant au milieu du salon, c'est pas mal non plus...