France Q again

Une émission sur le space opera dans la méthode scientifique d'aujourd'hui 16 h (rediffusion ?) avec Serge Lehman et Romain Lucazeau

Au fil’d’une chronique matinale, Lino Aldani, qui nous rappelle l’importance de la sf.

Des émissions genrées dans les archives ressorties des Nuits de France Culture :

_ Extra-terrestre : existe-t-il d'autres formes de vie dans l'univers ?
avec un extrait de l'adaptation de La guerre des Mondes par Orson Welles.

_ Un cinéclub consacré à la figure de Dracula



Et, issue d'un autre radio,
une émission sur le tueur en série ingénieux H. H. Holmes.

Histoire de rappeler que Robert Bloch n'a pas écrit que sur Jack l'Éventreur, et créé Norman Bates en s'inspirant d'Ed Gein, mais que ce natif de la Cité des Vents a aussi traité de la gloire locale dans un roman réédité, en poche, il y a quelques années :

Dans la suite des Nuits... :

Le savant fou, archétype de la littérature populaire

Je crois que je ne me lasserai jamais d'écouter Des ombres sur Innsmouth
(dans cette traduction comme dans la précédente, d'ailleurs)...

		BC : Une émission sur le space opera dans la méthode scientifique d'aujourd'hui 16 h (rediffusion ?) avec Serge Lehman et Romain Lucazeau

Ecoute du podcast, par ici.

Et, une question : 2001 l'odyssée de l'espace répond-t-il à la définition du space opéra ? Je l'y aurai pas classé (sans doute parce que ce film m'apparaît stérile, froid,mais pas que).

je ne l'y aurais pas classé non plus, mais comme je n'ai pas de définition claire (s'il y en a une)... j'attends donc aussi une réponse éclairante ^^

		Citation : parce que ce film m'apparaît stérile, froid

le space opera devrait-il être fertile et chaud ??? :D

En parlant de froideur et de stérilité :

« La perspective cosmique nous fait voir l’univers non comme un berceau bienveillant conçu pour abriter la vie, mais comme un endroit froid, isolé et dangereux, ce qui nous oblige à reconsidérer la valeur qu’ont les humains les uns pour les autres.
[…]
Le jour où notre connaissance du cosmos cessera de s’étendre, nous risquons de retomber dans la croyance infantile que l’univers autour de nous, au propre comme au figuré. Dans ce monde désolé, les gens et les nations, armés et affamés, auront tendance à agir sur la base de « leurs préjugés les plus bas ». Et ce sera là le dernier souffle de l’entendement humain - jusqu’à ce qu’émerge une autre civilisation visionnaire, à nouveau capable d’embrasser, et non de craindre, la perspective cosmique. »
Neil deGrasse Tyson