En 2022, lis tout ce que tu veux

J’entame une lecture longtemps retardée d’un classique du fantastique :
le Dracula de Bram Stoker.

Surpris par le style : je m’attendais à quelque chose de plus archaïque.
Je ne sais si ça tient du texte originel ou de la traduction (par Jacques Finné)
mais je le trouve assez moderne, et très fluide.

Je m’amuse au jeu des différences avec l’adaptation cinématographique,
par Francis Ford Coppola...
(Malgré tous ses défauts, je garde une tendresse particulière pour ce film qui a beaucoup tourné dans mon magnétoscope, quand j’étais ado.)

Perso, je l'ai lu en traduction Marabout Géant (1963) signée Lucienne MOLITOR. Itou pour le ressenti concernant le style. Il était vendu avec un prologue supplémentaire inclus.

Terminé Body Language de A.K Turner .

Je n’ai jamais lu Dracula, surtout par manque d’envie.
Je ne suis pas fan des vampires, sauf Ames perdues de Poppy Z Brite, qui a le mérite de casser pas mal des clichés immanquablement charriés. Elle s’inscrit dans la double filiation de Romero et du splatterpunk, et cela m’enchante.
Comme je n’ai jamais accroché à Coppola, son Dracula m’avait autant ennuyé qu’Ann Rice.
Le TDI sur les vampires était d’ailleurs le plus faible de tous.

Je suis donc curieux d’avoir ton avis.

Body Language - A.K. Turner.

Fini le Ligny : de très bons textes, même si cela devient assez redondant.

Histoire et faux-semblants de Daeninckx : quatre nouvelles sur le thème assez dickien du double. Quatre excellents textes, navigant entre l'horreur et la tragi-comédie.

Je commence Le crépuscule de Briareus de Richard Cowper.

Tous les feux, le feu de Cortazar.

La mort ne prend pas de vacances - Adam Saint Moore .

L'homme gribouillé de Serge Lehman & Frederik Peeters



La bd est trépidante ! Charmé par la bonne dose d'humour et cette histoire fabuleusement cauchemardesque. Une mère aphone et sa fille se mettent sur les traces de leur passé familial quand un corbeau vient frapper à leur porte...

La pierre de sang de Karl Edward Wagner.