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Sujet proposé le 16/11/2004 à 17h25 par Gracie |
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09/05/2005
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RE : Dossier la planète des singes
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19/05/2005 à 14h41
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Le Film de Schaffner est un pure chef d'oeuvre de la mise en scène, c'est le premier opus que j'aime, mais celui qui m'a toujours frappé c'est l'épisode 4, "la Révolte de la Planète des Singes".
un film ultra-violent pour l'époque dans la droite ligne des excellents films de SF des années 70 ( peut-être l'âge d'or de la Sf au cinema ) comme "Soleil Vert", "Le Survivant", "Le trou Noir" et encore !
Pour en revenir à l'opus de tim Burton, c'est un film qui à perdu de sa verve initial, je crois que lorsqu'on avait annoncer la suite de la Planète des Singes, les producteurs on raté leur chance !
Les rumeurs annoncaient que Arnold Schwarzzeneger serait le nouveau Charlton Heston de la Saga, et en lieu et place on nous à servi une espèc e d'acteur quasi inconnu !
Schwarzie dans le film de Burton aurait fait mieu !
C'est le point faible des films à gros budgets, s'ils n'etoffent pas leur distribution avec des grosses pointures, le succès s'en ressent.
Pour ce qui est du film de Burton, je crois que l'idée de base du film et sa fin donne à penser que Valhberg le héro de l'histoire à voyager dans le temps, plus précisement dans le passé ?
D'où la chute de la station spatial sur la planète et la posterior fuite des singes intelligents.
Donc, Valhberg à changé le cour de l'histoire de la Terre.
Pour ma part je pense que l'idée était bonne, des rumeurs affirmaient que la trame de fond du film était : " un singe intelligent voyage dans le temps et revient dans le passé ".
La chose aurait pû être bien exploité, plutôt que de faire un astronaute tombant sur une planète arboricol ( ce qui ne ma pas plu ), Burton aurait pû changer le scénario et faire que l'histoire se passe dans une planète montagneuse à l'image du film de Schaffner où les décors naturelles sont splendides.
Pourquoi ne pas avoir imaginer la venu de ce singe intelligent dans la rome antique ? Cela parait stupide, mais c'eut été plus divertissant !
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17/02/2005
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RE : Dossier la planète des singes
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19/05/2005 à 22h21
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Aù-delà de la polémique j'aime/j'aime pas et sans vouloir trop dériver du sujet initial, je tiens à analyser un peu la comparaison un peu hâtive ,me semble-t-il, que tu fais.
C'est vrai que le coté "Watching you" est très présent mais la comparaison s'arrête-là.
Le thème centrale concerne plus les lourdeurs administratives et la société de consommation que la dictature. Terry Gilliam cherche ici à montrer les conséquence d'une erreur et les moyen que se donne la machine administrative pour remettre les choses en ordre (sans avouer son erreur). Il en profite pour montrer du doigt l'interdépendance de chacun des acteurs du système, son aliénation et ses contradictions. Ici pas de 2+2=5 ni d'amour prohibé.
Le bonheur, en tant que mirage, est plus proche de celui des américains des années 50, que de la russie communiste de la même époque. Et surtout, il est généré par le consommateur lui-même, sans contrainte.
C'est finalement l'autre alternative du monde actuel : si 1984 illustre la dictature de pays comme la chine, Brazil colle bien à ce qui se passe dans un pays comme le nôtre.
Aussi, c'est 2 visions ne me semblent pas des copier/coller l'une de l'autre, mais bien des thèmes alternatifs, voire complémentaires.
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