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Sujet proposé le 02/01/2010 à 07h08 par morca |
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15/09/2007
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RE : De Janvier, le ciné j'enviais
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15/01/2010 à 16h08
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Le western The Proposition de John Hillcoat.
C'est violent. Pas très nuancé, tout le film se déroule dans une atmosphère sinistre, morose, juste contrastée par des images très lumineuses. Il n'y a pas un seul brin d'humour, tout est hyperréaliste.
Quatre types de personnages s'y côtoient: les gentils, les méchants, les bouseux, et les mondains.
Les deux personnages principaux sont tiraillés par une bonne conscience de "gentil". Et, les méchants sont des désinvoltes libres, bien dans leur peau, et sans scrupules. La population locale (dite les bouseux) est engluée dans un quotidien pitoyable dérangé par les mouches, elle déborde de haine et d'un mal vivre pestilentiel.
Mis à part l'échafaud, les habitants de cette petite ville australienne manquent de divertissement. Les mondains (la femme du Capitaine, et son supérieur, pas plus de deux) sont d'une autre classe de malfamé: ils endossent le pire rôle sans se salir les doigts. L'histoire n'est pas très surprenante, voire ordinaire pour un western.
La musique est très judicieusement choisie, elle est composée par Nick Cave, le compositeur du groupe Nick Cave and the Bad Seeds, il est aussi l'auteur de ce western. C'est lui entre autres qui a écrit la chanson, The Mercy Seat (reprise par Johnny Cash), l'histoire d'un homme exécuté sur la chaise électrique.
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dernière édition : 15/01/2010 à 16h10
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27/04/2004
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RE : De Janvier, le ciné j'enviais
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16/01/2010 à 20h32
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De l'Heroic zizie avec Wolfhound (russe - 2007) : Un enfant voit son clan décimé sous ses yeux. Emmené dans une mine, il deviendra très fort et poursuivra sa vengeance... Ca vous dit quelque chose, hein ?
Le réalisateur, Lebedev, est diplomé d'une école de scénariste. Pour ce film, il n'a pas utilisé ses dons. Pourquoi faire, c'est de la zizie, non ?
Un film qui tente désespérément d'égaler les grandes productions... Ah, les mouvements de caméra ! Quoi, encore un travelling latéral ?... Encore ?... Encore ?...
Des bonnes choses malgré tout.
Ah, oui, un héros irréprochable, mais alors ir-ré-pro-cha-ble et su-per-fort - il flingue plus d'ennemis que Conan sans être plus gros que Luke Skywalker et sans épée laser (sauf vers la fin, mais là, il a une vraie de vraie d'épée laser, wow). Et surtout un début et une fin - surtout la fin - gnangnan de chez Chantal Goya - genre, maintenant je finis le film par un suicide cinématographique net et franc - (inclus la fin à l'américaine : une voix off qui résume la morale de l'histoire pour ceusses qu'auraient pas compris - pitoyable mais récurrent.)
Bin voilà, Wolfhound, tue pas sa mère, mais bon, la tienne non plus...
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 C'est pas vrai, je ne suis pas misanthrope. La preuve, j'ai des amis humains.
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dernière édition : 16/01/2010 à 20h37
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