ASIMOV

Merci a toi zomver, je vient de me rendre compte que pour faire u travail d'anglais (ne serais-ce que lire un texte) sans que cela m'agace un max il faut que cela me passionne, ce fut un trés bon exemple g même volontairement ouvert mon dico anglais français.

Le seul bouquin non sf d'Asimov (a part son autobiographie) que g, c sur la comete de halley que je n'ait pas encore lu, mais en effet ca serait super génial de voir aujourd'hui ce genre de livre publié en français.

Quand même g un faible pour le cycle de fondation (un pe que les robots) surement du fait qu'Asimov y aborte + directement l'utopie.

Psychohistorien.

Arf ! C’est vrai que la traduc est en anglais.
Dsl Psycho !

Mister Psycho pourrais tu expliquer dans quel qens tu trouves que dans le cycle de Fondation Asimov approche le thème de l'Utopie ?

ben ca me semble logique: empire gallactique qui se désagrege= contre utopie (avec bureaucratie trop importante donc excés)+ 1ere et 2ed fondations = 1er tps utopie mais aprés mulet + gaia --> contre utopie contrairement a gaia qui ait la derniere utopie du cycle de fondation, mais cette succession d'utopie contre utopie a débuté comme je l'ait dit dans un autre topic il me semle, dés le cycle des robots. Mon faible serait donc du peut être a gaia (souvenez vous des discution avec trevize)
Asimov prone en permanence la necessité de la diversité dans une utopie, ainsi quand chacune de ses utopie arrive au bout de leur expension, elle se transforme en contre-utopie, et il finie avec gaia nous laissant avide de savoir se que deviendra gaia? mystere et boule de gomme.

Psychohistorien.

Si ca existe des allergiques a asimov

J'en suis un

Depuis I, Robot et surtout Les Dieux eux-mêmes, pour moi fini asimov

En ce qui me concerne, je ne suis certainement pas allergique à Asimov, mais je trouve qu'il vieillit mal. Il était obsédé par la crainte de la surpopulation, alors qu'aujourd'hui, on sait que c'est un faux problème, la terre peut largement nourrir tout le monde alors que la natalité décroît de toutes façons.

Il imaginait les Robot comme des humanoïdes, alors que la réalité d'aujourd'hui est autre. Il y a beaucoup d'automates, de plus en plus, mais les machines ressemblant à des humains, ça ne servirait pas à grand-chose, et personne ne s'intéresse sérieusement à en fabriquer.

Quant à Fondation, je ne suis pas allé au-delà des deux premiers chapitres, parce que les histoires d'empire galactique, ce n 'est pas trop mon truc. Mais c'est là une question de goût.

Je trouve que la nouvelle "l'homme bicentenaire" est extraordinaire. Mais je n'en dis pas plus, lisez-la et prenez votre plaisir.

julos :

		Citation : Si ca existe des allergiques a asimov

oui, oui, moi aussi j'en avais fait une, on l'avait déjà dit...
ah, psychohistorien est un fan, il veut pas entendre :
Je te jur que les aller j à Asi# sssa exist !!!

c'est vrai quoi...
:' ) )

ah ! zut, je voulais juste déconner, et je me rends compte que c'est olivier qui avait dit qu'il n'y avait pas d'allergiques à asimov...
oh, zut de zut... alors d'accord, psychohistorien, pardon mille fois pour cette mauvaise blague...

Ludwin je crois que n'ayant pas exploré Asimov tu n'as pas compris sa position vis à vis des Robots et de la robotique en général.

Contrairement à ce que tu écris, il ne les "humanoïsait" pas. Grâce à ses 3 Lois de la Robotique il est même celui qui a fin à la main mise du complexe de Frankenstein sur la SF.

Une de ses comparaisons les plus simples était de dire qu'un grille pain ne peut attaquer son propriétaire, il n'est pas prévu pour cela. Ainsi chaque nouvelle centrée sur les robots révèle que ceux ci n'ont pas débordés du cadre des Lois mais ont été pervertis par l'homme ou sont tombés sur un cas non prévu ( à part peut être la nouvelle le Robot qui révait )

Reste le cas de Giskard et Daneel. Mais ni l'un, ni l'autre ne dépasse leur programmation puisque l'un se grille le cerveau en élaborant la Loi zéro ( le groupe prime sur l'individu ) tandis que l'autre est toujours présent avec le même objectif des millions d'années après sa création.

Pour finir on peut citer les parôles de la psycoroboticienne qui avoue ne pouvoir différencier un robot d'un humaniste véritable.

Donc complexe de Frankenstein, syndrome de Prométhée. Asimov nous a fait dépasser tout cela.

		Citation : En ce qui me concerne, je ne suis certainement pas allergique à Asimov, mais je trouve qu'il vieillit mal. Il était obsédé par la crainte de la surpopulation, alors qu'aujourd'hui, on sait que c'est un faux problème, la terre peut largement nourrir tout le monde alors que la natalité décroît de toutes façons.

Je trouve qu'il avait plutôt raison pour ma part. D'autant plus que tout le monde ne mange pas, hélas, à sa faim.