2017, faudra-t-il accoucher tes lectures avec le forceps?

Quelques mots sur Infinités, Olivier ?

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Je reprend la lecture de The sub, roman fantastique de Thomas Disch, et je me régale.

Les Nababs de James Carter .

		Citation : Quelques mots sur Infinités, Olivier ?

Deux : sans intérêt.
La première nouvelle est soporifique, la seconde inintéressante : du coup, je ne suis pas allé plus loin.

Olivier >> Je te trouve un peu dur. Si tu avais poussé plus loin, tu aurais pu apprécier "La femme qui se croyait une planète", une farce grinçante, véritable pied de nez adressé aux convenances de la société indienne, doté de surcroît d'un dénouement délicieusement cruel. Tu aurais sans doute aussi découvert avec la nouvelle titre, la multiplicité des possibles dans un univers hélas marqué par la triste prévisibilité humaine. Et je ne parle pas de la nouvelle "Le Tétraèdre", où les spéculations scientifiques se frottent aux préoccupations plus sociétales.
Non, honnêtement, reprend ce bouquin à un autre moment. Et laisse lui une seconde chance.

		Citation : Olivier >> Je te trouve un peu dur. Si tu avais poussé plus loin, tu aurais pu apprécier "La femme qui se croyait une planète", une farce grinçante, véritable pied de nez adressé aux convenances de la société indienne, doté de surcroît d'un dénouement délicieusement cruel. Tu aurais sans doute aussi découvert avec la nouvelle titre, la multiplicité des possibles dans un univers hélas marqué par la triste prévisibilité humaine. Et je ne parle pas de la nouvelle "Le Tétraèdre", où les spéculations scientifiques se frottent aux préoccupations plus sociétales. Non, honnêtement, reprend ce bouquin à un autre moment. Et laisse lui une seconde chance.

Je retenterai peut-être le coup plus tard, mais je persiste et je signe sur les deux premières nouvelles.
Quelle idée de commencer par des textes si peu intéressants !

Il est vrai que les deux premières nouvelles ne sont pas celles qui ressortent le plus...

D'ac-cord...
Je compte attendre la parution en poche.
Je commencerai par la troisième nouvelle (La femme qui se croyait une planète).

Terminé "un cantique pour Leibowitz". J'ai bu du petit lait, enfin non plutôt du vin de messe.

Le bruit et la fureur de Faulkner.
J'accroche infiniment plus que pour Sartoris. Même si je ne comprends pas grand-chose pour l'instant (je suis dans la première partie), je sens qu'il y a un vrai potentiel, qui mérite que l'on s'accroche.

Le creuset du temps de John Brunner.