la survie de l'H dépend de son expension vers les étoiles?

Oh la la... Ils ont 30 petits degrés au mercure et ils se plaignent...! D:
Ils sont fadas dans le nord..!

Dans l'immédiat, et à moyen terme voire à long terme, à moins d'une révolution technologique d'ampleur, il me parait difficile d'envoyer des hommes hors du système solaire.
Aller sur Mars serait déjà énorme.

Après reste la question : à quoi bon la survie de l'humanité ?
Au moins deux livres pour y répondre : Génocides de Disch et L'homme tombé du ciel de Tevis.
Quels sont les votres ?

Egoistement, à défaut de survie des cons (la seule espèce qui ne sera jamais en voie de disparition), je vois déjà la survie de mon gamin ...
Donc s'il fallait tout faire pour qu'il puisse fuir la terre devenue dangereuse, invivable, je militerai pour...

Mais je n'aurais pas tenu ce discours, il y a quelques années...

Amitiés.
Jess

N'anticipons pas non plus : tout n'est pas encore foutu !
Ne me prenez pas non plus pour un optimiste, hein : j'insiste !

Mince !
J'ai toujours cru que la survie de l'homme dépendait de son compte en banque...

Moi je partirais bien pour d'autres planètes, mais les humains ne veulent pas.

Pourtant je ne crains pas les radiations, et je sais fabriquer des fonderies solaires, des centrales à fusion d'Helium-3, des navettes orbitales, et j'ai un projet de fresque monumentale sur la Mare Serenitatis.

Mais les humains ne veulent pas. Ils préfèrent mourir sur place. D'ailleurs ils s'y emploient activement. Ils dépensent tout leur argent pour fabriquer des bombes.

Les humains m'énervent.

Un jour, je vais prendre les choses en main.

Salut Solarwind..! Bienvenue.

la survie de l'homme dépend-t-elle de son expension vers les étoiles ?

mais l'homme est -il capable de (sur)vivre loin de la terre nourricière, avec les p'tits zoziaux qui piallent, les vagues qui vont et viennent sur les plages, les arbres qui bruissent, l'odeur de la terre mouillée après l'ondée, le rire des enfants, les bains de foule, les déserts, ...

Humm, moi je vois le problème dans l'autre sens. L'Univers n'aurait-il pas tout à gagner à ce que l'homme ne s'échappe jamais de sa petite planète bleue ? Parce qu'après avoir bousillé une planète il s'agirait de ne pas récidiver ailleurs.

Ca me fait penser à une pièce (de théâtre) peu connue d'Apollinaire : Couleur du temps.
C'est publié avec d'autres textes dans L'enchanteur pourrissant, et hautement recommandable, quoique singulièrement pessimiste.

+1 avec K2R2, mais le plus urgent serait surtout, vu l'état actuel des techonologies spatiales et aéronautiques, de survivre sur Terre. Commencer par mettre fin à l'extinction massive actuelle serait un bon début.