Vos lectures de juin...

Je débute juin avec une BD : le Tome 1 des Naufragés d'Ythaq (Arleston & Floch).
Alors, étant donné que c'est une sorte de remake de Lanfeust, j'aurais tendance à dire que c'est du foutage de gueule.
Donc je n'achèterai pas les autres tomes.

Assassin's Apprentice de Robin Hobb. Je n'en suis encore qu'au tout début.

Je viens de finir : La lune vous salue bien, de Johan Heliot. Un bon moment de bonheur. Décidément, cet homme-là et moi avons de l'humour en commun !

Je commence : Freakshow de Xavier Mauméjean (que je croyais avoir déjà lu) ça démarre fort. C'est du Club Van Helsing.

Fini Invasion martienne de McAuley,deception devant une intrigue classique qui ne decolle jamais vraiment et reste d'un ennui poli.
De la hard science mais sans le talent d'un Benford et puis sur le thème de Mars rien ne vaut La trilogie martienne...

Une secte comme beaucoup d'autres... de Gilles Morris. C'est bien sympa.

Fini Je suis un roman noir d'A.D.G.
Un polar très sympa, avec des moments bien jubilatoires !

		Citation : et puis sur le thème de Mars rien ne vaut La trilogie martienne...

C'est du second degré, hein ?

Rassure-moi !


Du pur second degré, c'est ça ?


Non, parce que quand même.


Mais bon, je SAIS que c'est du second degré.

non, non, un homme de goût .
Il en existe .
Ca fait bizarre quand on en croise un , n'est ce pas ?

dans la longue série des romans martiens des années 90, c'est à coup sûr le plus ambitieux/complexe/réfléchi.

Mais je ne serais pas très originale en disant que c'est aussi (pour moi) une des lectures où je me suis la plus forcée.



(Tor, 1999, couverture anonyme)

En fait Bull je sais que tu adores la Trilogie martienne de KSR mais
tu ne veux pas te l'avouer à toi même c'est tout.

Anatomie de l'horreur de Stephen King.

Petit voyage dans la culture populaire américaine des années 50 à 80. Agréable à lire et fort juste quant aux choix de ce cher Mr. King. Sa thèse sur l'apollinien et le dyonisiaque est également fort intéressante.
Tout celà pour dire que ce monsieur là est loin d'être un imbécile. Faudra d'ailleurs que je creuse un peu plus l'auteur d'"horreur".

Un bout de phrase (entre autres) qui m'a plu: La fiction, c'est la vérité à l'intérieur du mensonge [...].