je conçois tout à fait que l'on puisse apprécier ce roman pour justement ce côté que l'on pourrait nommer
cosy catastrophe et sur lequel il me semble plutôt fort.
C'est juste que mes gouts personnels me font préférer les idées et leur développement aux portaits psychologiques fouillés.
C'est aussi que RCW est coutumier du fait. A la fois
Darwinia (encore qu'il soit peut-être le mieux mené à son terme) et ses nouvelles (non-traduites pour la plupart) offrent une image superbe ou un concept brillant en ouverture, qui semble parfois mis de côté au profit d'une poursuite plus intimiste.
(Tor, 2004, couverture de Jim Burns)