Quel est le meilleur éditeur ? Et le pire ?

		benoitrêveur : J'ai pris Verne , mais on aurait pu prendre Tolkien voire Eddings: l'idée c'était de démontrer pourquoi j'estime que l'imaginaire est devenu un business produisant pas si souvent que ça de bonnes choses....

Un certain Sturgeon disait qu'il y a toujours 90% de merde, quel que soit le support ou le genre

Et dans les 10 % qui restent, il y a aussi 90 % qui sont sans valeur ?

Et dans les 10 % qui restent ensuite, il y a aussi 90 % qui sont sans valeur ?

Et dans les 10 % qui restent ensuite, il y a aussi 90 % qui sont sans valeur ?

En continuant comme ça, et en oubliant Xénon, on arriveà pas loin de 100 %.

Donc, rien ne vaut rien.

Donc tout se vaut.

		Citation : C'est mon caractère, il faut savoir s'accepter les uns les autres.

Condition nécessaire mais non suffisante, donc principe biaisé : il convient dans le même temps de savoir s'adapter à son environnement... SG-Lyon, as-tu reçu mon MP ?

		Citation : Et dans les 10 % qui restent, il y a aussi 90 % qui sont sans valeur ? Et dans les 10 % qui restent ensuite, il y a aussi 90 % qui sont sans valeur ? Et dans les 10 % qui restent ensuite, il y a aussi 90 % qui sont sans valeur ?

De toute évidence, cette série infinie de valeurs positives converge vers un résultat fini, en l'occurrence LE chef-d'oeuvre ultime... Voire LA phrase ultime. Ou LE mot... Ou...

Le paradoxe de Zénon appliqué au concept de Sturgeon : il y a peut-être une idée, là.

La paireud' docs disait non ? La paireud' ducs disait non ? Qu'est-ce que c'est que ça, un proctologue et un urologue mal lunés qui partagent le même cabinet, ou deux aristos qui se font draguer par la même fille ?

		Citation : C'est mon caractère, il faut savoir s'accepter les uns les autres.

Le caractère de certains, c'est de pas piffrer les boulets... C'est leur caractère, faut que les boulets acceptent...

:P

		ElJusticiero : Et dans les 10 % qui restent, il y a aussi 90 % qui sont sans valeur ? Et dans les 10 % qui restent ensuite, il y a aussi 90 % qui sont sans valeur ? Et dans les 10 % qui restent ensuite, il y a aussi 90 % qui sont sans valeur ? En continuant comme ça, et en oubliant Xénon, on arriveà pas loin de 100 %. Donc, rien ne vaut rien.

Tu peux le voir comme ça si tu veux, wais...

Le prochain et ultime tome de Eragon sort cette semaine!

De quoi redorer incontestablement le blason de la Fantasy!
Chouette!

Pff.. Evidemment, y'a bien que la fantasy pour avoir encore des blasons... !

		Citation : Citation : Il me semble , je ne voudrais trop m'avancer , que ce n'est qu'une vulgaire resucée d'une info polémique reprise d'un autre site bien connu , non ? Non, non. C'est un extrait de l'ITW de G. Klein dans Bifrost qui concernait la collection Bragelonne SF. Cela a d'ailleurs fait l'objet d'un pataquès avec J-C Dunyach, droit de réponse, menace de procès, toussa. La routine, quoi.

Je devrais passer plus souvent... On se marre bien, ici.
Pour info, il n'y a pas eu de menace de procès (on est entre grandes personnes, hein) ni "pataquès" avec moi, et le droit de réponse a été exercé par Gérard Klein lui-même sur un point annexe.

Par contre, permettez-moi de souligner un point:

Depuis 4 ans, entre autres grâce à la collection Bragelonne SF que j'ai dirigée jusqu'à fin janvier (c'est désormais l'indispensable et talentueux Tom Clegg qui s'y colle) et grâce à la remarquable Collection de Laurent Genefort, "Le grand Temple de la SF", Bragelonne est devenu un acteur important de la SF. Important en nombre de titres publiés par an - une douzaine de grands formats - et important aussi de par le genre et la variété de SF publié : des auteurs femmes, pas souvent ou jamais traduits (Linda Nagata, Karen Traviss, bientôt Elisabeth Bear), des livres réputés difficiles ou "peu commerciaux" (Anathem de Stephenson, ou le Grand Vaisseau - effectivement refusé par Klein et il doit s'en mordre les doigts au vu des ventes -, ou Days, de Lovegrove, ou Gradisil d'Adam Roberts), des découvertes (Bragelonne a publié Morgan, Jon Courtenay Grimwood, Lorusso, le duo Williams/Dix), sans oublier le premier Space Opera de l'auteur bicéphale Canadien Laurent McAllister (Jean-Louis Trudel + Yves Meynard, dans un bouquin énorme de plus d'un million 500 mille signes) ou l'antho Nouveau Space Opera qui sort ce mois-ci, etc. Et, bien sûr, la republication de Julia Verlanger, Pelot, Coney, ou Delany... Bref, ça fait un paquet de vrais bouquins de SF disponibles sur les étals.
Alors on aime ou on n'aime pas tel ou tel titre ou auteur. Il y a des trucs plus ou moins commerciaux, plus ou moins réussis, plus ou moins à votre goût... Mais posez-vous la question : sans ce paquet de bouquins estampillés SF, est-ce que notre genre favori ne se serait pas en train de rétrécir comme une peau de chagrin au point de disparaître des rayonnages ?
Je vous poutoune,