http://www.quarante-deux.org/prix/razzies.html
Il est des razzies mérités, comme :
- Incompétence éditoriale : publication sans noms d'auteur au sommaire de l'anthologie composée par Al Sarrantonio : Tracés du vertige. Flammarion, 2004
- Pire traduction : Bernadette Emerich pour : la Division Cassini. Ken MacLeod. J'ai lu, 2003 [la vf est tout simplement illisible]
- Pire couverture : celles des éditions Imaginaires sans frontières, sous la main mise de Stéphane Nicot, notamment celle de Chroniques des terres mortes. Claire & Robert Belmas. 2001 :
Franchement...
Ils se sont déjà décernés des razzies :
- Pire nouvelle francophone : "Xolotl". Léa Silhol. In étoiles vives 9, mars 2002.
- Prix Putassier : Resident Evil. Thomas Day. Denoël, 2002
- Pire nouvelle étrangère : "une Visite chez mère-grand". Clifford D. Simak. In Bifrost 22, avril 2001
- Prix Putassier (récompensant la publication d'un texte sans intérêt d'un auteur connu) : "Jusqu'à ce que la mort nous sépare". Robert Silverberg. In Bifrost 13, avril 1999
- Pire nouvelle anglosaxone : "les Compagnons de la comète". G. David Nordley. In anthologie composée par Gilles Dumay : étoiles vives 4. Orion, 1998
Plus sérieusement, je trouve cela sympa d'ouvrir des prix au public, malgré les risques que cela peut comporter.
Et puis si Terre de brume en ramasse un -catégorie lecteur = vache à lait- pour sa non-retraduction du
Monde vert d'Aldiss, ils ne l'auront pas volé !