Les films du mois d'août

Fido : une histoire de zombies dans l'Amérique des années 60, c'est très réussi, très divertissant. Putain que le monde était cucul avant les années 60 !!!

Dreamland : ce n'est pas de la sf, certes. Mais c'est un véritable bijou, une petite perle d'humanité qui se penche sur les exclus du rêve américain. Un film magnifique !

Le jour où la terre s'arrêta. Le classique de chez classique, toujours valide.

Coup de tochon de Bertrand Tavernier et c'est pas mal même si c'est un peu trop lent pour moi. il faut que je lise le roman de Jim Thompson qui a inspiré ce film.

En effet, question adaptation de Jim Thompson, j'ai largement préféré Série noire d'Alain Corneau, avec le sublime Patrick Dewaere, Bernard Blier, Marie Trintignant.

Beaucoup plus "thompsonien", AMHA.

Le bateau Das Boot de Wolfgang Petersen
C'est vraiment trés intéressant et pas mal fait malgrès quelques défauts. Par contre, je ne sais pas si ça venait d'Arté ou du film, Il etait parfois en VF et parfois en VOSTF et voir des personnages qui se parle d'abord en Français puis ensuite en allemand sans qu'on sache pourquoi est assez bizarre. Il faudra que je trouve le DVD pour me le faire en VOSTF, ce sera probablement mieux.

La société du spectacle et Réfutation de tous les jugements... de Guy Debord.

Goldfinger hier soir : toujours aussi bon ! =P

Punch-drunk love de Anderson et Elephant de Van sant. Parce que le premier est déjanté, et le second envoutant.

La peur au ventre de Wayne Kramer. Un film d'action bien ficelé avec une mise en scéne efficace. Si on aime les film de série B Plutôt violente, c'est idéale pour une bonne soirée sinon il y a d'autres films à voir.

Hier, deux films sans Mme Bull :

-Transformers : sans interet
-Silver Surfer : Nul.

C'est quand même triste de tirer de la mythologie des FF autant d'idées majeurs (Silver Surfer, Galactus, Super-Skrull, Doom avec le pouvoir cosmique) et de ne pas provoquer de "sens of wonder".

Prochaine étape, Thanos et les lapins roses ???

Oui, à force de compiler autant d'idées et de concepts différents dans un seul film, on en perd le sens : probablement un rapport entre "trop embrasser et mal étreindre"