Lectures : en 2020, pas de livres vains

S'agissant d'un antique présence du futur on parle toujours du tournebouloche.
J'attaque American Gods en poche avec cette vieille ganache de IanMcShane appuyé sur une cadillac sur la couverture, moins nase que la précédente.
J'ai beau être extrêmement friands des productions de McDonald, j'ai bien peu d'apointance avec la 4eme de couv. de Le temps fut.

Le glamour de Christopher Priest, traduction de MIchèle Charrier.

Last ones left alive de Sarah Davis-goff : un premier livre , un post-apo bof bof .
Juste termine une bonne brique de Frantz Schatzing : Breaking News , un polar . J'avais beaucoup aime Abysses ( aussi impressionnant ) , helas ici Frantz ne se revele pas a la hauteur de Littel ou DOA : les 600 premieres pages sont bien enlevees , mais je les ai passe a me demander ou l'auteur voulait bien aller ...

Quelques courts ouvrages, Le temps fut de McDonald, Bienvenue à Sturkeyville de Bob Leman et en ce moment Spin de Nina Allan

L'emprise du cristal de J.P Garen .

Je m'emmerde à cent sous de l'heure avec le Priest.
Je m'attendais à La fontaine pétrifiante ou à La séparation, mais j'ai l'impression de relire Le prestige. Il ne manquerait plus que Nolan en tire un film !

Du coup, je pense que je vais passer à autre chose rapidement.

Ah, Olivier, tu me rassures: je pensais être le seul ...

		Lacroute : Ah, Olivier, tu me rassures: je pensais être le seul ...

Priest est comme Dick : on va vraiment du navrant à l'excellent.

Frayeurs - Elmor Hell ( nouvelles ).

Petit à petit, je rattrape mon retard, avec cette fois-ci une relecture. Je ne me souvenais plus du foisonnement spéculatif de L'Enfance attribuée. C'est même le véritable point fort de cette novella. Mais, l'intrigue et les personnages ne sont décidément pas au cœur des préoccupations de David Marusek qui préfère se focaliser sur l'interaction entre l'humanité et la technologie. C'est à la fois stimulant et frustrant.